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Paris, Viviers, Bourges : personne n’échappe à la langue de buis

Commentaires (3)
  1. Benoît YZERN dit :

    Encore une fois et au risque de répéter ce qui suit, il n’est pas certain du tout que ces documents soient destinés à être lus, avec attention et en profondeur, et il est à tout le moins des plus probable qu’ils ont pour objectif ou, en tout cas, pour résultat, de faire obstacle, le plus longtemps possible, à l’apparition ou à l’émergence d’un tout autre regard et d’un tout autre discours, diocésains mais pas conciliaires, ni consensualistes fraternitaires, ni inclusivistes périphéristes, depuis l’intérieur des diocèses français et de l’épiscopat français.

    Que voulez-vous… Nous sommes en présence de clercs qui sont les continuateurs d’autres clercs, qui ont eux-mêmes été les continuateurs d’autres clercs, dont le cerveau chrétien a été lavé, et dont les convictions chrétiennes ont été lessivées, puis remplacées ou transformées, tout d’abord dans les années 1930, ensuite à partir de 1945, et enfin dans les années 1960-1970.

    Les clercs diocésains ET rénovateurs d’aujourd’hui ont-ils bien conscience du fait qu’ils inscrivent leur pensée et leur action dans le sillage des clercs diocésains ET rénovateurs d’hier, c’est-à-dire dans le sillage de clercs héritiers d’autres clercs, qui ont subi un lavage de leur cerveau, en l’occurrence un lavage de cerveau d’inspiration adogmatique, eudémoniste, immanentiste, inclusiviste, oecuméniste et personnaliste ?

    Il serait d’ailleurs intéressant de savoir dans quelle mesure les évêques d’aujourd’hui ont bien conscience du fait qu’ils sont les victimes, plus ou moins consentantes, des conséquences post-conciliaires des erreurs d’appréciation doctrinale et des erreurs d’orientation pastorale de leurs prédécesseurs qui sont devenus évêques sous Pie XII, ou sous Jean XXIII, ou encore sous Paul VI.

    La fragilisation de la conception dominante de la conduite de la communion, dans l’épiscopat français, commencera le jour où dix évêques français, parmi les moins âgés, feront savoir aux autres évêques et aux fidèles qu’ils sont catholiques, DONC non conciliaires ni inclusifs.

    Or, c’est bien entendu ce DONC qui ne peut ni ne doit être porté à la connaissance de qui que soit, car sinon le “collapsus” est assuré.

  2. LOIC dit :

    Ils sont beaux nos soit disant pasteurs, je dirais plutôt imposteurs qui font a l Eglise plus de mal que de bien.

  3. Denis CROUAN dit :

    Lorsqu’on pénètre dans l’église de ma paroisse alsacienne, ce qui saute aux yeux, c’est le nombre d’affiches aux couleurs “flashies” qui annoncent les multiples activités proposées aux fidèles “pour faire Église”. Il y a même un grand arc-en-ciel que les gens qui ignorent l’Ancien Testament prennent pour un signe d’ouverture aux pratiquants LGBTQ+ e tutti quanti. Oui, beaucoup d’affiches et beaucoup de propositions pour devenir membre d’un groupe. Mais quand on connaît la réalité de la situation, on sait que dans une dizaine de ce groupes souffreteux, on retrouve à chaque fois les 5 ou 6 personnes généralement d’un âge certain. Tous les moyens sont bons pour faire illusion. Relire à ce sujet “Tintin au pays des soviets”…