En ce 8 décembre, Mgr Ulrich publie sa première lettre pastorale aux Parisiens. Extrait :
Enfin, beaucoup d’entre nous, croyants ou non, s’inquiètent des évolutions de l’opinion vers une conception de la fin de vie qui nous éloigne de plus en plus de nos sources spirituelles les plus profondes. Nous nous désolons de ce que l’aide active à mourir qui cache maladroitement le terme d’euthanasie puisse se faire passer pour un signe de fraternité. La fraternité à laquelle nous appelons sans cesse est une aide à vivre les derniers moments de sa vie, en soulageant les douleurs par les médications appropriées, en apaisant les angoisses de l’approche de la mort par une présence continue, une écoute attentive et une douceur qu’aucun recours technicien ne saura jamais procurer : tous les témoignages venus de la pratique des soins palliatifs le montrent. Vous pouvez aussi lire, sur le même site du diocèse, et travailler avec d’autres la lettre pastorale des évêques de France : « Ô mort ! Où est ta victoire ? »