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Abbé Pierre : la CEF ouvre aux chercheurs des documents d’archives de l’Eglise de France

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Commentaires (4)
  1. Forcade dit :

    La CEF est juridiquement une Association des Évêques .
    En droit français on peut douter des droits qu’elle s’attribue .
    Ses commissions sont des commissions thématiques de réflexion, des comités la complètent
    Les Lois de 1905 1907 ont donné autorité aux associations diocésaines pour l’aspect matériel Même si les Bureaux et Conseils d’administration se couchent quasiment toujours devant pères curés et évêques .
    La CEF une fois de plus se soumet aux diktats des médias et foule au pied Prescription, Principe du contradictoire et les Droits de la Défense…

  2. Courivaud dit :

    En effet, cher Fourcade, il faut respecter la prescription, le principe du contradictoire et les droits de la défense.

    Pour avis, ce commentaire fort bien écrit dans “Causeur”, évoquant l’affaire de l’abbé Pierre ; j’en approuve les termes, saur les dernières lignes qui sont hors sujet :

    https://www.causeur.fr/l-abbe-pierre-sous-le-soleil-de-satan-291212

  3. Biard dit :

    La prescription des archives privée est à la discretion de ses propriétaires. Donc rien n’empêche la conférence des évêques de France de modifier ces délais. Par contre il faudrait que tous les évêchés ouvrent leurs archives car ce sont eux qui possèdent les archives les plus importantes sur l’abbé Pierre.

  4. François dit :

    L’abbé Pierre a accompli de grandes choses, on peut l’honorer pour celles-ci. Ses turpitudes intimes regardent maintenant son Créateur, à qui il doit rendre compte de son passage sur la terre. Le wokisme qui ne semble pas rebuter l’Eglise méconnaît la conception chrétienne de l’homme, anthropologie qui réfute aussi bien l’idolâtrie ( à laquelle l’abbé n’a pas échappé) que son pendant le lynchage.