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L’Abbé Pierre accusé d’agressions sexuelles

Commentaires (4)
  1. teddy dit :

    Il est grand temps qu’ elles se réveillent depuis 17 années qu’ il est décédé, c’est à se demander si cela n est pas voulu par le MLF pour en discréditer encore plus l’Église.

  2. Fodio dit :

    La gauche libérale, bourgeoise, caviar, continue son travail de saccage de toutes les figures de références. Il manquait l’abbé Pierre au tableau de chasse de Caroline de Haas et son cabinet de démolition Egaé. Aidé par le traître Chaboche, logé au sein même de l’association Emmaüs, ils n’ont eu qu’à solliciter des témoignages plus que douteux 20 ans après les soit disant faits. Ça se paiera à la libération.

  3. Andrey Zaycev dit :

    J’ai du mal a y croire. 20 ans après… le choc a du etre terrible pour se taire pendant tant d’années

  4. Dominique Morin dit :

    On ne saura probablement jamais qui a réellement fait quoi, mais l’accusation infâme pèsera toujours sur l’abbé Pierre et ceux qui défendent sa mémoire.
    L’accusé est mort, il y a prescription, donc il n’y aura ni enquête ni interrogatoire et confrontation des preuves et des témoignages. Comme dans un certain nombre d’accusations contre des clercs, une accusation dont on ne peut vérifier qu’elle n’aie pas été sollicitée voire déformée suffit à détruire à vie et même au-delà la réputation d’une personne.
    Je ne nie rien ni n’absous l’abbé Pierre, mais je rejette le procès en sorcellerie sans défense ni enquête qui que ce soit qui soit concerné.
    Si on y ajoute le cabinet à qui il a été demandé d’enquêter, déjà mouillé dans de fausses accusations et clairement hostile à l’Eglise, on voit des similitudes avec la CIASE dont certains membres étaient clairement hostiles à l’Eglise, qui ont accepté comme attestées des accusations unilatérales sans examen critique concernant des prêtres morts il y a des décennies, y ajoutant un chiffre de mis en cause délirant sur la base de sondages effectués par un organisme sur leurs sondés habituels, bénéficiant de petits cadeaux pour des réponses et donc intéressés à fournir celles souhaitées par le sondeur, et n’ayant rien à voir avec le sujet.
    On peut difficilement ne pas se poser des questions, non pas sur la réalité d’abus sexuels dans l’Eglise, mais sur une instrumentalisation avec peut-être le but de décrédibiliser le discours doctrinal de l’Eglise.
    Pourquoi l’Eglise prête aussi facilement le flanc à des accusateurs? Souhaite-t-elle contribuer à décrédibiliser la doctrine de l’Eglise à travers la moralité souillée de son clergé?
    Que les véritables victimes retrouvent la paix si c’est possible, que les véritables coupables soient l’objet d’un véritable procès, mais que les autres se voient rendus leur honneur que rien ne permettait d’entacher.