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IVG dans la constitution : la réaction de Mgr d’Ornellas

Commentaires (4)
  1. donapaleu dit :

    Mgr d’Ornellas répète à longueur d’interview que c’est un drame, mais pourquoi est-ce un drame ? Parce que c’est un meurtre il faut le dire aussi ! Seule la vérité nous rendra libres !

  2. Courivaud dit :

    Hélas, il y a une thématique que Mgr d’Ornelas a oubliée : en inscrivant le “droit à l’avortement”, on renforcera tout le dispositif pénal qui empêchera les associations “pro-vie” à défendre les femmes qui ne souhaitent pas avorter et ce, sur le fondement d’un délit d’opinion, qui s’appuie sur le refus de reconnaître un tel “droit”.
    Autrement dit, cette constitutionnalisation prend une tournure liberticide qui porte atteinte à des droits fondamentaux.
    Il serait bon d’interroger des juristes qui défendent le droit à la vie en tant que droit fondamental et demander à ceux-ci quels moyens ils entendent prendre pour éviter que l’on inscrive un tel “droit” qui est en fait une monstruosité constitutionnelle.
    Il serait souhaitable, – mais décidément que faire lorsque les évêques français ont refusé en masse pendant presque 50 ans, de défiler à toutes les manifestations du 25 janvier ? – que TOUS les évêques de France fassent une déclaration s’opposant à cette constitutionnalisation en faisant valoir non seulement ce que dit le Magistère de l’Eglise catholique en la matière, mais aussi les exigences du droit naturel que l’on ne saurait confondre avec ce qu’expriment des opinions “même religieuses” pour parler comme l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789).

    En clair, cette déclaration faite en forme d’entretien, seulement, par l’évêque de Rennes est insuffisante, en contenu et dans sa forme.
    On doit attendre davantage d’un évêque, et de tous les évêques dignes de ce nom. C’est ce qu’attendent des fidèles passablement désorientés sur ce sujet, et pas seulement sur celui-ci.

  3. Gérard Janot dit :

    S’il vous plaît, arrêtez d’utiliser ce sigle IVG qui se veut aseptisé et appelez les choses par leur nom : avortement ou mieux : “massacre d’enfant à naître”. Mal nommer les choses etc etc comme disait l’autre….

  4. TD dit :

    On oublie un peu vite qu’en 1975 la loi sur l’avortement est passée avec le silence des évêques comme l’a reconnu elle-même S Veil. Si en 1975 les évêques s’étaient opposés à l’avortement la loi ne serait pas passée. Les évêques de cette époque, très progressistes (en 1975 l’église de France était dirigée par les tout puissants Marty et Etchégaray) ont donc une responsabilité effarante et le payent maintenant dans l’éternité.
    On n’oublie pas non plus qu’en 2017 et 2022 les évêques ont appelé à voter … Macron !!! Alors qu’ils savaient que cet individu est profondément anti chrétien.
    Pour l’avortement les évêques ont perdu toute crédibilité car ils en sont complices.