Bel exemple de novlangue épiscopale en affiche, censé illustrer l’assemblée plénière des évêques de France à Lourdes, et qui se prête d’ailleurs à de nombreux détournements.
Madame, Ce n’est pas une “novlangue”, mais l’usage des Saintes Ecritures, où parler de “vallée” renvoie à la vertu d’humilité. Cf. les Commentaires des Pères, en particulier sur les Psaumes. Ceci dit, la citation est effectivement un peu hermétique pour les non-initiés et je me demande si les évêques y aont seulement pensé! Mais “vallées de bénédiction” à un sens…
On peut aussi citer la vallée du Salve Regina, “valle lacrymarum”: et, là, oui, les évêques font pleurer leurs Prêtres et leurs fidèles…
Je ne parlerais pas de “détournements”, mais de “pia interpretatio” chère à saint Thomas d’Aquin.
Une chose est sûre: on n’a RIEN à attendre de nos évêques, sinon la remise en cause de la foi et de la morale à la suite du Pape François, élu pour “confirmer ses frêres dans la foi”, mais qui ne sait que diviser et briser les âmes.
Jusqu’ici, on parlait plutôt de vallées de larmes dans la tradition catholique. Ils ne connaissent même plus leur salve Regina ; c’est triste d’inverser les symboles en voulant jouer aux poètes.
A la décharge de nos évêques, peut-être ont-il pensé faire référence à un passage un peu oublié au second livre des Chroniques (20, 26)
“Voilà pourquoi on a donné à ce lieu le nom de « vallée de la Bénédiction », jusqu’à ce jour.”
Plutôt que de faire référence au psaume 23 plus connu : “Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton me rassurent.”
Dans ce cas, c’est louable de faire connaître de passage méconnu de l’Ecriture sainte.
Madame, Ce n’est pas une “novlangue”, mais l’usage des Saintes Ecritures, où parler de “vallée” renvoie à la vertu d’humilité. Cf. les Commentaires des Pères, en particulier sur les Psaumes. Ceci dit, la citation est effectivement un peu hermétique pour les non-initiés et je me demande si les évêques y aont seulement pensé! Mais “vallées de bénédiction” à un sens…
On peut aussi citer la vallée du Salve Regina, “valle lacrymarum”: et, là, oui, les évêques font pleurer leurs Prêtres et leurs fidèles…
Je ne parlerais pas de “détournements”, mais de “pia interpretatio” chère à saint Thomas d’Aquin.
Une chose est sûre: on n’a RIEN à attendre de nos évêques, sinon la remise en cause de la foi et de la morale à la suite du Pape François, élu pour “confirmer ses frêres dans la foi”, mais qui ne sait que diviser et briser les âmes.
Jusqu’ici, on parlait plutôt de vallées de larmes dans la tradition catholique. Ils ne connaissent même plus leur salve Regina ; c’est triste d’inverser les symboles en voulant jouer aux poètes.
A la décharge de nos évêques, peut-être ont-il pensé faire référence à un passage un peu oublié au second livre des Chroniques (20, 26)
“Voilà pourquoi on a donné à ce lieu le nom de « vallée de la Bénédiction », jusqu’à ce jour.”
Plutôt que de faire référence au psaume 23 plus connu : “Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton me rassurent.”
Dans ce cas, c’est louable de faire connaître de passage méconnu de l’Ecriture sainte.