Après avoir été rapatrié au Pérou en catastrophe par sa congrégation, l’Institut du Verbe incarné, cet été, après une relation avec une retraitante, le père Anthony del Castillo ne sera pas poursuivi au civil – néanmoins, les faits sont canoniquement constitués, sa « connaissance » ayant témoigné dans la presse locale et avoué « une vraie histoire d’amour« .
Il serait donc étrange que le prêtre péruvien puisse continuer à exercer, en France ou ailleurs – sa congrégation, qui croule sous les problèmes d’abus, vocations forcées, voire de prêtres qui mélangent foi catholique et…vaudou, voulait le nommer en Italie.
L’Institut du Verbe incarné a d’ailleurs tenté de remplacer le père del Castillo par un autre prêtre péruvien de l’IVE lui-même mis en cause pour agression sexuelle; c’est finalement le père Rombolla en poste près de Toulon qui l’a remplacé à Jonzac.
Quant au père del Castillo, vu son profil Facebook, il a probablement lui aussi rejoint la Provence. Le nouvel évêque de Toulon est-il seulement au courant ?


