Mgr Kerimel, l’évêque de Toulouse qui avait voulu nommer un curé condamné pour viol d’un adolescent comme chancelier et s’était obstiné de longues semaines dans sa décision, déroulant sa vision déviante de la miséricorde, jusqu’à ce que la CEF et Rome interviennent, n’a pas fini d’en entendre parler. Paru au cœur de l’été, Miséricorde magazine qui s’était payé Kerimel est de retour en piste pour un second numéro.
Dont voici la présentation : « On en a marre. Trop, c’est trop.
Dans ce second numéro, on balance les vérités que beaucoup préfèrent taire. Oui, on est catholiques. Oui, on aime l’Église. Mais quand l’institution protège les abuseurs au lieu des victimes, ça suffit.
👉 Ce short façon Bref raconte pourquoi on a décidé de sortir ce nouveau numéro.
Parce que si eux se paient nos têtes… maintenant, c’est à nous de nous payer la leur ».
Et puis pour les prélats qui n’auront pas apprécié la lecture, ou le générateur de communiqués en langue de buis, l’équipe de Miséricorde magazine leur propose de faire un recours à Rome.