Auditionné avec Mgr Rivière par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée Nationale sur le contrôle par l’Etat de la prévention des violences dans les établissements scolaires, Mgr Rivière a été interrogé par l’un des rapporteurs, l’ex-aubryiste puis députée LREM du Nord Violette Spillebout, notamment sur Riaumont – la communauté est aujourd’hui visée par quatre affaires judiciaires distinctes, notamment violences, détention de fichiers pédopornographiques, maltraitances, abus et non-dénonciation de crimes.
Mgr de Moulins-Beaufort répond sur le cas de Riaumont que « un évêque, lorsqu’il est mis au courant [d’abus] saisit le procureur aussitôt. Il faut laisser l’enquête judiciaire se faire. Quand les affaires judiciaires seront achevées, il faudra prendre des décisions canoniques définitives« .
Riaumont devra parfaire sa défense. Pour rappel, l’ancien prieur, pour justifier la détention de 2000 (!) fichiers pédopornographiques sur son ordinateur, a affirmé à l’audience qu’il s’agissait d’une « étude anthropologique, sociétale, éducative, pour mieux comprendre la jeunesse d’aujourd’hui« .
Les soit disant 2000 « fichiers » pedo-pornographiques ne sont ni pedo, ni porno, ni des fichiers stockés sur l’ordinateur. Il s’agissait d’historique de navigation.
Les médias gauchistes ont volontairement tournés leurs phrases pour faire croire à de la détention de fichier pedo-pornographiques.
Pourquoi ne pas leur donner la parole lors d’une interview ? Ils ont grand besoin de rétablir certaines vérités…
Ce n’est guère mieux… un prêtre n’a pas à naviguer sur ce type de site, ni une fois ni 2000…
On est d’accord que les prêtres n’ont pas naviguer sur des sites pornographiques.
Par ailleurs certains soutiennent qu’il ne faut pas être naïfs, et savoir que ce n’est pas rare…
les prêtres ne sont pas extérieurs à la société et ses vices…