En Une

Gardienne des Ténèbres à Toulouse : que faire ?

Commentaire (1)
  1. Arome dit :

    C’est bien, RC se rattrape après avoir largement ignoré l’évènement toulousain, et ce n’est pas faute de ma part d’avoir alerté. C’est d’ailleurs un problème de toute la droite catholique : la situation inquiète moins que le respect des hiérarchies sociales et affinitaires.

    L’avantage d’Internet, c’est qu’il permet à des inconnus ou des gens distants de communiquer entre eux et de se coordonner autour d’une cause. La droite catholique annule partiellement cet avantage, en limitant les nouvelles aux sources “qu’on connait”. C’est d’autant plus dommage que dans ce cas précis, j’ai donné tous les liens qui permettaient de vérifier l’information de manière indépendante. Ce genre d’article aurait dû paraître avant les évènements : là nous sommes 1 mois après…

    Mais maintenant que nous – les petits, les obscurs, les sans-particules – avons le droit de réaliser que les évènements de Toulouse sont gravissimes (ils l’étaient avant aussi, mais maintenant c’est validé par le comité éditorial), on peut se demander quoi faire.

    Or cela a été fait déjà : la ville de Toulouse a été consacrée au Sacré-Coeur. Aux Toulousains de faire vivre cette consécration. On remarque à cette occasion une ironie de plus. Les évêques, pour refuser les demandes de consécration au Sacré-Coeur, répondent aux laïcs : vous faites du Sacré-Coeur un moyen magique, comme si une consécration allait tout changer. Mais convertissez-vous d’abord (et/ou) engagez-vous à faire vivre de cette consécration à l’échelle individuelle, et ensuite (jamais) nous ferons la consécration publique.

    L’argument que la consécration doit être suivie est valable. Ici, Mgr de Kérimel a consacré la ville (Dieu le bénisse)… et ne fait plus rien depuis – à ma connaissance. Quelqu’un a-t-il des informations ?

    PS : relancer le chapelet, c’est aussi une bonne idée. Ajoutons l’adoration eucharistique.