Le magazine du diocèse d’Orléans du mois d’avril publie une interview du père Laurent Tournier, recteur du séminaire d’Orléans. Ce dernier, qui fut architecte avant de devenir prêtre, explique que son accompagnateur spirituel au moment de son entrée en prêtrise était Patrick Jacquin, alors responsable des JMJ en Ile-de-France, puis recteur de la cathédrale Notre-Dame de Paris de 2003 à 2016.
Le recteur du séminaire d’Orléans est aussi visiblement un adepte de la méthode Coué, et en matière d’abus, d’une certaine cécité sélective – comme l’évêque d’Autun qui a avoué au JT de France 2 ne pas avoir lu le rapport sur les abus au sein des soeurs apostoliques de Saint-Jean dont il est pourtant le responsable canonique, et à des religieux qu’il ne lisait pas les signalements d’abus qu’on lui adressait.
En substance, le recteur du séminaire d’Orléans dit, dans un dernier paragraphe qui est un grand moment de communication ratée, sans égard pour les victimes, et sans filtre : “celui qui se laisse tirer vers le bas, le tiède, la noirceur ou le découragement ne regarde pas au bon endroit […] les évêques vous parleront du nombre croissant de catéchumènes et je vous dis que le nombre de séminaristes n’est en rien catastrophique”.
“Souvenir ambigu ” .
Quand on diqcute avec des commerçants lourdais, ou des anciens salariés du sanctuaire , on peut en apprendre pas mal sur Mgr Jacquin, qui ne laissa aucun regret lors de son départ pour Paris en 2003 !
Jacquier… qui a laissé des souvenirs ambigus…un doux euphémisme….
Jacquin