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Grenoble : Mgr Eychenne réfléchit sur la synodalité

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"La victoire, c'est notre Foi"
Commentaires (6)
  1. Remi Rive dit :

    “Sans bruit Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes,
    Le cygne chasse l’onde avec ses larges palmes,
    Et glisse.”
    Le Frère … Jean-Marc Eychenne est en train de saborder la petite vitalité catholique du diocèse de Grenoble.
    Il ne faut surtout pas le contredire.
    Dommage il y avait un bon travail d’évangélisation à faire.
    R.R.

  2. VG dit :

    Quelle honte !
    On préfère virer les tradis (FSSP de la Collégiale St André notamment) ou encore ennuyer une pauvre école catho hors contrat (FSSPX) qui eux sont les gardiens de la Tradition de notre Très Sainte-Eglise catholique.
    Encore un diocèse égaré malheureusement.

  3. Benoît YZERN dit :

    Le néo-catholicisme n’est pas avant tout ou n’est pas seulement missionnaire, mais il est également partenaire : partenaire des confessions chrétiennes non catholiques, partenaire des religions non chrétiennes, partenaire de l’humanisme agnostique.

    Cette caractéristique fondamentale du néo-catholicisme est à l’ordre du jour encore plus depuis le début du deuxième avant-Concile, sous Jean-Paul II, sur le plan doctrinal et pastoral, que depuis celui du premier avant-Concile, sous Pie XI, sous l’angle philosophique et théologique.

    A partir de ce rappel, on est en droit de se poser ces questions :

    – le mot “mission” ou le mot “missionnaire” a-t-il le même sens, dans l’esprit de François, et dans celui de Pie XII ?

    – qu’est-ce qui légitime in Christo la conception inclusiviste, partenariale, périphériste et synodaliste de la mission ?

  4. Courivaud dit :

    Du baratin, source de graves erreurs, du temps perdu et de l’argent aussi (i’ aura fallu payer cher des “unités d’œuvre” utilisées par des “communiquants” engagés par un évêché qui ferait mieux de réserver son budget à des œuvres plus essentielles pour la vie de l’Église au ciel comme sur la terre).

  5. Benoît YZERN dit :

    Ce n’est pas comme si les évêques rénovateurs n’avaient pas connaissance et conscience du fait que l’échec du Concile a débouché sur la faillite de l’après-Concile, en Amérique latine et en Europe occidentale, ce dont ils ne parlent publiquement presque jamais.

    Or, chez ces évêques, non seulement il n’y a aucune volonté de remettre en cause les acquis mentaux néo-catholiques, dont l’anthropologie personnaliste, l’ecclésiologie oecuméniste, la pneumatologie inclusiviste et la politologie intégraliste, à cause desquels ils sont aussi souvent silencieux, sinon complices, face au subjectivisme, au confusionnisme interconfessionnel, au consensualisme interreligieux et face à l’immanentisme, mais en outre, chez les mêmes évêques, il y a la volonté de tirer parti de l’orientation pontificale actuelle pour aller encore plus loin dans une direction, pseudo-évangélique, qui est placée sous le signe de l’auto-déconstruction permanente ou de l’auto-dépassement indéfini.

    En effet, pendant des siècles, au moins du milieu du XIIIème siècle au milieu du XXème siècle, ou de Saint Thomas d’Aquin à Pie XII, il n’a jamais été officiellement question de prendre appui sur un affranchissement ou sur une émancipation, à l’égard de la foi catholique en tant que théologale, de la loi morale en tant que naturelle et de la vie chrétienne en tant que surnaturelle, pour aller en direction d’un catholicisme bien plus évangélique ou enfin évangélique.

    Or, c’est bien une telle prise d’appui, sur un tel affranchissement ou sur une telle émancipation, qui est mise en avant et en valeur, encore plus depuis le début du pontificat de François que depuis celui de Jean XXIII, d’où l’expression d’après laquelle nous sommes en présence d’un courant de pensée et d’action, non seulement “pastoral” mais aussi “synodal”, à caractère assez souvent pseudo-évangélique.

    Le cheminement de l’Eglise et des fidèles, à contre-courant, face à l’esprit du monde de ce temps, qui sévit avant tout en matière religieuse, et pas seulement en matière morale, ce cheminement à contre-courant serait, lui, pleinement évangélique, alors que le cheminement préconisé par les évêques rénovateurs, dont celui de Rome, est, de son côté, bien plus consensualiste ad extra qu’évangélique in Christo.

    C’est comme si nous étions en présence de l’actualisation systématique d’une chimère ou de la maximisation volontariste d’une utopie.

  6. Joël dit :

    Jean Marc Eychenne….comme il a bien renié ses années passées à la communauté St Martin.
    Triste mitre !