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Retour sur la venue du cardinal Roche à Paris

Commentaires (5)
  1. Courivaud dit :

    Même au Vatican (surtout au Vatican), les chiens (de garde de la pseudo tradition) aboient, mais dans le monde entier, (plus grand que le Vatican, surtout en ce moment), la caravane de la Tradition vraie passe.
    Beaucoup de parlotes pour rien autour de Mgr Roche. C’est sans intérêt. Nous, continuons notre combat dans le silence et l’exercice des vertus et ce temps de carême qui approche nous y pousse.

  2. Efage dit :

    Cette sorte de … a tout à fait raison. Nous ne partageons pas le même Foi. Ce roche là ne semble pas être la Pierre sur laquelle notre Seigneur a bâti son église.
    En tout cas nous dirigeons nos dons, deniers et autres quêtes en dehors de leur petit business.
    Cette typologie de personnage, est une sorte d’apostasie ambulante.

  3. Ligérien dit :

    Un aérophage parlant entre eux sur des sujets qui n’intéressent qu’eux même. Qui lira les actes du colloque? De la poussière dans les bibliothèques….
    L’ombre de la résistance anti Traditionis Custodes planait sur l’assemblée et le Cardinal n’en menait pas large. N’avait-il pas annulé une précédente réunion à Paris?
    On ferait mieux d’écouter l’historien Guillaume Cuchet prônant un oecuménisme entre catholiques et Benoit XVI remarquant que l’Usus Antiquior est un sémaphore pour la liturgie.
    La situation dramatique de la liturgie à son origine à Rome qui l’a effondrée depuis 2013.

  4. Arome dit :

    On comprend la teneur de l’article, mais il y a un hic, petit mais hélas signifiant et problématique.

    Oui Mgr Roche semble faire preuve d’une ignorance et d’une incompétence crasse,
    Oui la tendance à monétariser l’accès au clergé est indigne (messe du pape à Marseille, retraite de luxe en Angleterre, colloque de Mgr Roche…)
    Oui, les derniers modernistes trustent les postes de commande et sombrent dans un grotesque isolement et une pathétique peur de peuple…
    Oui, tout cela semble hélas vrai….

    On ne voit pas que la messe en latin soient, comme les modernistes le disent, l’étendard des intégristes. L’assistance est beaucoup plus diverses que ça.

    Et, par symétrie, la messe en français n’est pas uniquement l’étendard des modernistes et des pervers (qui souvent sont les mêmes). J’aimerai avoir une réponse de contradicteurs de sensibilité tradi (bonjour Courivaud !) sur ce point :

    L’auteur critique le chant de communion “moderne” (quelle horreur !). Pour les modernistes : si c’est ancien, c’est nul. Pour les tradis, si c’est nouveau, c’est nul.

    Or les paroles de “Qui mange ma chair” ne sont pas modernes : elles sont directement extraites de l’Evangile de Jean. L’auteur de l’article n’a donc pas reconnu la source ?

    Qui mange ma chair et boit mon sang, demeure en moi, et moi en lui (Jean 6,56)
    Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’Homme, vous n’aurez pas la vie en vous (Jean 6,53)
    SI vous ne buvez pas le sang du Fils de l’Homme, vous n’aurez pas la vie en vous (JEan 6,53)

    D’accord, c’est une phrase extraite d’un très long article. Cependant c’est – pour moi (humble subjectivisme) – un problème. D’un côté, on a un hiérarque très antipathique, enfermé dans un bunker doré comme jadis les soldats américains dans leur green zone à Bagdad, et qui rejette tout ce qui est ancien…. parceque c’est ancien.

    En face, on aimerait trouver, par symétrie, une résistance joyeuse et orthodoxe dans sa foi, et qui cherche la volonté de Dieu autant que le hiérarque recherche le triomphe de son idéologie. Et non. Le camp d’en face discrédite tout ce qui est moderne. Même si c’est l’Evangile (qu’ils ne connaissent donc pas ?)

    Pierre Joubert racontait qu’il avait remis à sa place une noble dame qui n’admettait pas que le CP de son noble fils ne soit pas noble. Pierre Joubert avait évoqué de confier le noble rejeton à un CP exemplaire, fils d’un charpentier. La dame ayant refusé, il lui avait répondu que si même le Christ ne lui convenait pas, alors le noble fils garderait son (très bon) CP actuel.

    Que dire alors aux tradis qui rejettent tout ce qui est moderne parceque c’est moderne… même l’Evangile ?

    Plus gravement encore : le critère tradi n’est donc pas l’orthodoxie ni l’Evangile ? C’est donc la date ? Mais quelle valeur magique les uns et les autres accordent-ils donc au temps, que chacun ne voit que des ténèbres de l’autre côté de 1962 ? Est-ce donc vrai que les tradis ne se battent pas pour le Christ, mais pour que tout reste comme avant ?

    Point gravissime : la foi doit-elle être un fixisme (et à quelle date arrêter ?), ou sinon, où est la barrière du développement légitime, et quels sont les critères ? L’Eglise a-t-elle oui ou non le droit de réformer son rite, et dans quelles proportions ? Et sur quels critères baser ces proportions ?

    Pour l’instant, je ne lis aucune réponse claire, ni d’un camp ni de l’autre. S’il vous plaît éclairez-moi !

    Bien à vous,

  5. Torquemada dit :

    Le cirque conciliaire continue…..
    Ce sont des fossoyeurs….!