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Les cinq écueils des communautés nouvelles

Commentaires (4)
  1. Courivaud dit :

    Voilà un commentaire qui commence bien…
    En tout cas, deux constats déchirants pour certains, sont à faire déjà :
    – Jean Paul II n’est pas un saint
    – les pères fondateurs de ces communautés ont prétendu inventer l’eau chaude alors que saint Benoît et saint Augustin en Occident avaient déjà tout dit sur le fonctionnement de celles-ci..

    Hélas, voici une nouvelle manifestation de la crise du principe d’autorité dans l’Église.

  2. Marek dit :

    Céline Hoyeau, journaliste à La Croix, et Pascal Ide, de l’Emmanuel” sont-ils les mieux qualifiés pour dénoncer les dérives sectaires des Communautés nouvelles ? Et d’assister tous les dimanches à la messe dans le diocèse de Mgr Brambilla nous assure t-il notre salut éternel? Sandro Magister est souvent meilleur.

  3. Abbé Perrenx Dr Th, Dr Méd Rx PH dit :

    Un saint se définit par sa canonisation: c’est une notion objective, théologique et canonique; et non une idée personnelle subjective au goût de chacun. Que cela soit nié n’est pas recevable selon la foi Catholique: l’infaillibilité de la canonisation a toujours été soutenue en théologie: relisez les saints et les Docteurs; ce n’est pas le cas de la béatification.

    Le Saint-Père très aimé Jean-Paul II a été béatifié puis canonisé par deux Papes, de nombreux miracles confirmant la volonté divine. Comme Prêtre, j’ai eu l’honneur et la grâce de le servir pendant plusieurs années, découvrant chaque jour davantage — et encore aujourd’hui dans la mémoire — ce qu’il était en profondeur, sa foi, son oraison contineulle (le rosaire!), son don à Marie, et combien il aimait les Prêtres (contrairement à certains critiques qui n’ont que le déni et l’inure à la bouche: “indiétristes” et autres stupidités).

  4. François dit :

    Pertinente analyse de Mgr Brambilla, qui dépasse les “communautés nouvelles” (qui appartiennent désormais au passé !). Même les paroisses et les oratoires, écrit-il justement, peuvent être affectés par ce qu’il faut bien qualifier de dérive sectaire. Pour avoir assisté, heureusement toujours avec un certain recul critique, depuis plus de quarante ans à tous ces “renouveaux” dans l’Eglise, je suis aujourd’hui orphelin et désabusé. Chrétien isolé, chrétien en danger ? Moins peut-être qu’au près de mauvais bergers…