Abus sexuels du clergé

L’étrange humour d’un prêtre des Missions étrangères de Paris (MEP)

Commentaires (7)
  1. Marek dit :

    Le dessin est d’un certain Goossens, le père Camille Rio s’est contenté d’en rire. Rire de quoi, au fait ? De la communion sur la langue, exagérément tirée ce qui est effectivement assez drôle, ou du personnage dénommé Obélix ? Ce dernier a une auréole au-dessus de la tête et une couronne sur la tête. Cette couronne fait penser à celle de la statue de la Liberté. Mais, compte-tenu de la citation d’Obélix tombé petit dans la marmite, de la robe de pénitent, et d’une allusion possible à la couronne d’épines, on est conduit à penser que c’est le Christ lui-même. Et alors le dessin devient carrément absurde et blasphématoire. Car pourquoi le Christ approcherait-il la table de communion pour recevoir son propre corps comme une potion magique ? Il s’agit d’une messe traditionnelle : chasuble violon, manipule, communion sur la lague, … , mais communiants debout quoique pieusement recueillis les mains jointes. Le duo Goossens-Rio apparemment ne croit pas à la transsubstantiation des saintes espèces qu’il assimile à une lubie des tenants de la messe ancienne. Ils ont changé tout cela !

  2. Joël dit :

    Il y aurait aussi à dire sur le père Vignon qui fricote avec le très moderniste René Poujol !
    Lutter contre les abus ne dois pas exempter du respect de la Foi.
    Ces ministres l’ont ils encore ?
    C’est la question que nous sommes en droit de nous poser !

  3. Joël dit :

    Notons au passage que Camille Rio a été ordonné pretre en 2013 par le sinistre Mgr Brunin, au Havre.

  4. Efage dit :

    Pauvre type

  5. Ozillon dit :

    Indépendamment de l’humour, les publications sur le décentrement sont assez banales dans l’expression de ce qu’est la vraie charité. Étonnant que vous les trouviez choquantes. « C’est en s’oubliant qu’on se trouve » dit une prière bien connue et attribuée à Saint François d’Assise. Je vous souhaite plutôt d’en faire l’expérience.

  6. Ozillon dit :

    J’ajoute : qu’a fait le Seigneur sinon quitter Nazareth, où quand il revint il ne fut pas compris, Capharnaüm (« allons ailleurs,: dans les autres villages, car c’est pour cela que je suis sorti »), qu’a fait le Seigneur sinon entendre, et se laisser surprendre par la foi de la Cananéenne à laquelle il avait d’abord refusé de répondre, etc. Il faut se laisser « désinstaller », déranger par l’autre pour porter du fruit. En Jésus, Dieu lui-même est sorti de lui-même pour venir jusqu’à nous. Il s’est abaissé jusqu’à l’homme. Pour le relever. Cela s’appelle la kénose en terme savant. Heureux celui qui en fait l’expérience.

  7. Padre dit :

    Mathieu 26, 24b: « Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »