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Béatitudes : le tribunal pénal canonique national saisi

Commentaire (1)
  1. Arome dit :

    Mutatis mutandis, dans le cas des juridictions civiles, on ne connait pas beaucoup de juges d’instruction sur des affaires pénales qui donnent des interviews dans la presse, pendant ou après l’enquête. Eventuellement, une dizaine ou une vingtaine d’années après les faits.

    Vu le passif de dissimulation de certains hommes d’église, on peut comprendre l’instinct de défiance quant au secret exigé. Avec du recul, ce secret ne parait pas excessif ni inhabituel. Reste posée la question des droits de la défense, très souvent piétinés (cf. le traitement injuste appliqué à Mère Marie Ferréol, à Pontcallec).