Le synode sur la synodalité suscite de plus en plus de critiques, alors que l’autorité semble sur la défensive.
Cette fois-ci, c’est le secret pontifical qui couvre les débats qui ne passe pas. Et ce sont les commentateurs catholiques de diverses sensibilités qui observent cet aspect qui tend à miner la confiance. On notera que les débats des deux synodes sur la famille (en 2014 et en 2015) n’avaient pas été retransmis en direct et à la différence des synodes des précédents pontificats le climat “secret” et opaque n’a jamais été aussi fort. Est-ce le signe d’un malaise de fin de pontificat que tout le monde commence à comprendre ?
Ce n’est pas pour tous …
Ni pour tous tous
Et encore moins pour tous tous tous !
Le secret , comme dans les loges maçonniques …
Si seulement ce synode sinueux pouvait être tellement secret que les conclusions ne soient pas publiées…
Grenouillages et magouillages sont les deux mamelles du Club Concilioprotestantomodernogogliosinodoysinodal.
Bonjour Kevin,
le secret et l’autoritarisme sont désagréables. Ils peuvent aussi servir à inverser une tendance, ou à temporiser. Voyez le synode sur l’Amazonie : l’ordination de “viri probati” faisait l’objet d’un mobbying intense. Et puis le pape François à dit non. On peut se demander si le secret pontifical ne servira pas à la même chose.
Attendons avant de juger.
Ps : sur la fixation sur les dates : avant 1962 ce n’était pas brillant non plus : la “combinazzione” ne date pas d’hier. C’est malheureusement un problème lié à une certaine conception de la cléricature. Voilà une belle question à aborder : aujourd’hui, avec un laïcat instruit, la dissimulation n’est plus vraiment judicieuse. Parlons-en. Parlons aussi de la nécessité d’une nouvelle Inquisition pour révoquer les prêtres scandaleux, que ce soit sur le plan des moeurs ou de la doctrine. En vous fixant sur les dates, vous ignorez les vrais problèmes, et vous retardez les vraies solutions. Bien à vous,