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Tremblement de terre dans l’enseignement catholique à Bordeaux

Commentaires (3)
  1. Courivaud dit :

    Il y a longtemps que “l’enseignement catholique”, surtout s’il est en contrat ou associé avec l’Etat n’est plus catholique, parce qu’il est obligé de s’aligner sur les dérives de l’Education nationale, qui dans la “matière” citée par l’article fait très fort en lâcheté, en irresponsabilité. Pensons par exemple à ce que raconte le film “la journée de la jupe” où Isabelle Adjani joue excellement (elle a fait du théâtre, et très bien ; cela se voit) le rôle d’une enseignante confrontée à une situation de crise qui l’affecte moralement mais qui ne reçoit AUCUN soutien de la “communauté enseignante”, de la direction du lycée et du ministère dont celui-ci dépend in fine.

    Il y a longtemps que les évêques se sont “désinvesti” de leur rôle de tuteur de l’enseignement catholique parce que précisément, ce sont les gardiens du Magistère, lequel doit être enseigné aux enfants (et aussi aux parents, de plus en plus !) sous différentes formes. Et on n’a pas attendu les textes du concile Vatican II pour rappeler que les évêques doivent exercer cette responsabilité. Voyez déjà ce qu’en dit déjà Montalembert au XIXème siècle.

  2. Oger dit :

    Je suis profondément attristée par les événements qui frappent le collège Saint-Genès Lassalle auquel je suis très attachée. En effet mon fils a bénéficié pendant toute sa scolarité d’une excellente formation mais aussi de l’accompagnement attentif de ces fins éducateurs que sont les Frères des Écoles Chrétiennes. Mon fils a 51 ans mais n’a pas oublié Saint-Genès et moi non plus. Que le directeur repose en paix. Encore merci Saint-Genès

  3. Joël dit :

    @ Oger : il y a longtemps que les frères des écoles chrétiennes ont quitté St Genes