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La déchristianisation en chiffres en France, de 1995 à 2020

Commentaires (3)
  1. Juliette dit :

    C’est un constat que ceux qui occupent nos églises et interdisent la messe catholique traditionnelle de toujours, le catéchisme, les sacrements aux prêtres, aux familles, aux enfants, agissent comme des criminels.

  2. Courivaud dit :

    Il manque juste un tableau synthétique qui permettrait de suppléer au manque de clarté de ce commentaire.
    Et puis, pourquoi prendre 1995 pour point de départ ?

  3. Denis CROUAN dit :

    Oui, la déchristianisation avec ses deux enfants naturels – l’indifférentisme et le relativisme – est en marche dans l’Eglise-qui-est-en-France où les évêques, les uns après les autres, ont promis un “printemps” sans jamais voir que les innovations pastorales étaient toutes condamnées à ne rien produire. Dans les paroisses du diocèse de Strasbourg (pour ne parler que de celui que je connais le mieux), les églises sont devenues des salles de concerts qui accueillent un public n’ayant pas la moindre conscience qu’il est dans un lieu sacré. Dans ma paroisse, l’église du XIIIe siècle est chamboulée pour pouvoir servir, durant deux semaines, aux artistes qui organisent un festival de musique. Cette transformation du sanctuaire se fait sur ordre du maire et dans l’indifférence du curé… Doit-on s’étonner après ça que le christianisme soit en crise ? Qui veut suivre une Eglise dont les ministres – les “guides” – se laissent emporter par l’air du temps qui, on le sait, n’est pas précisément favorable à l’identité chrétienne ?