Le média américain Christian Headlines s’est intéressé à l’évolution de l’église épiscopalienne – une des nombreuses confessions protestantes américaines, connue pour un libéralisme, voire un tropisme LGBT certain; ce dernier ne semble pas lui avoir amené de fidèles, au point que la confession pourrait être rayée de la carte en 2050.
“ Comme le relaie Christian Headlines, l’Eglise épiscopale des Etats-Unis* a encore perdu 60 000 membres en 2021. Depuis 2012 et ses deux millions de membres en 2012, la dénomination chrétienne connaît une chute constante de l’adhésion à l’Eglise et de la fréquentation du culte. Ce phénomène s’est accéléré lors de la pandémie de Covid-19. En dix ans, près de 400 000 membres sont en effet partis.
Selon le média américain, cette baisse d’adhésion s’explique aussi par la position libérale adoptée très tôt. En 2003, l’Eglise épiscopalienne a en effet ordonné son premier évêque ouvertement homosexuel, Vicky Gene Robinson. Plusieurs schismes ont ensuite entraîné le départ de nombreuses congrégations. De plus, en 2015, la dénomination chrétienne a autorisé la bénédiction des mariages homosexuels“.
Pas de quoi décourager les épiscopaliens qui affirment que leurs promesses de dons ont augmenté en 2021 – sans donner plus de détail – et que leur nombre ne baisse pas plus vite que la plupart des autres églises protestantes américaines.
Un avertissement pour le schisme allemand, dont les chefs de file pensent pouvoir enrayer la fuite continue de leurs fidèles, accélérée depuis le Covid, en se soumettant au lobby LGBT et à l’agenda progressiste ? Même le précédent désastreux en Hollande, dont ils ont certainement connaissance, n’a pas suffi à les arrêter.
Le dernier lien vers le cas Hollondais est erroné, le voici : https:/www.riposte-catholique.fr/archives/172863
Il faut préciser que la communauté épiscopalienne est une branche de l’anglicanisme et que les ordinations anglicanes sont invalides.
Les ultra progressistes veulent imiter les sectes protestantes. Il y a longtemps qu’on sait qu’il n’y a plus aucune différence entre les progressistes et les protestants. Les progressistes à la suite de Vatican II veulent aligner l’Eglise catholique sur le protestantisme.
Plus le concile Vatican II accumule les ruines plus les modernistes veulent aller plus loin dans la révolution conciliaire.
C’est le chemin de l’Enfer
Ces dénominations qui prônent le mariage LGBT, l’écologisme et les pasteurs femmes sont du diable.
Heureusement il existe des assemblées chrétiennes de très grande valeur qui appliques à la lettre La Parole de Notre Seigneur.
@TD : pour une fois d’accord avec vous. Ajoutons simplement que s’il y a indéniablement des progressistes dans l’Eglise, ils ne sont Dieu merci pas les seuls, ni les plus nombreux. Pour l’instant, les progressistes sont très visibles. Cependant, par la grâce de Dieu, le pontificat du pape François agit comme un accumulateur d’énergie très considérable dans le camp catholique (= opposé au progressisme et simplement fidèle à l’Eglise). On peut se demander si Dieu n’est pas en train de comprimer le ressort catholique, qui ne va s’en détendre que plus fort. Les progressistes sont allés trop loin, le retour de bâton est proche et devrait être surprenamment rude. En tous cas, l’avenir est clairement à la messe en latin et à une reprise en main doctrinale et disciplinaire que je crois très vigoureux. Je ne parierai pas un kopeck sur le progressisme.