La partie francophone du diocèse de Malines-Bruxelles ne compte plus que trois séminaristes, qui en janvier dernier étaient en visite au centre pastoral de Bruxelles; deux d’entre eux sont issus du chemin néocatéchuménal – ils sont argentin et salvadorien respectivement, le troisième de l’Emmanuel – il est de Charleroi dans le Hainaut, du diocèse de Tournai.
« Mardi 24 janvier 2025, les trois séminaristes de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles étaient en visite au centre pastoral de Bruxelles. Ils étaient accompagnés de Brigitte de Mahieu, formatrice au séminaire, et ont été accueillis par Tony Frison, vicaire épiscopal, et Marie-Françoise Boveroulle, son adjointe ».
Andres Bustamante
Originaire d’Argentine, Andres Bustamante est séminariste auprès du séminaire Redemptoris Mater (communauté du Chemin néo-catéchuménal). Il a terminé sa théologie.
Il est en stage à temps plein à l’UP Sainte-Croix à Ixelles en vue de l’ordination au diaconat (en vue du presbytérat) pour le diocèse de Malines-Bruxelles.
Martin van Breusegem
Originaire de Charleroi, Martin van Breusegem est un séminariste membre de la communauté de l’Emmanuel en 3ème année de théologie au grand séminaire de Namur. Il est également en insertion pastorale les we à l’UP francophone de Bruxelles-Centre.
Il sera institué à l’acolytat par mgr Terlinden le 12 février à la paroisse Sainte-Croix à Ixelles, lors de la messe du pôle jeunes XL.
José Alcides Hernandez
Originaire Salvador, Jose Alcide Hernandez est séminariste membre du séminaire Redemptoris Mater (communauté du Chemin néo-catéchuménal). Il vient de terminer sa théologie.
Il est en stage à temps plein à l’UP de Woluwé Saint-Lambert en vue de l’ordination au diaconat (en vue du presbytérat) pour le diocèse de Malines-Bruxelles.
Et la Fraternité St Pie X a deux séminaristes de Bruxelles.
Avec un séminaire interdiocésain francophone à Namur qui fait tout pour décourager les séminaristes qui ont l’outrecuidance de s’agenouiller à la consécration, il ne faut pas s’étonner de cette hécatombe.
Pourtant, il y a des jeunes qui veulent s’engager dans le sacerdoce.
Où seront-ils accueillis ?
A noter qu’une dame est formatrice au séminaire, l’autre « adjointe » du vicaire épiscopal. La féminisation du clergé belge est en marche.
Dans les années 60 il y avait tellement de prêtres en Belgique que mon père avait fondé une affaire commerciale principalement sur cette clientèle.
Aujourd’hui pour toute la Wallonie 3 seminaristes !
De vieux belges m ont rapporté ce que disaient leurs parents après Vatican 2 « ce concile c est peut-être la fin de l Eglise Catholique ».
N’est- ce pas le cardinal belge Suenens un des chefs de file du progressisme au concile qui criait victoire -car son camp avait gagné- en disant que Vatican II était le 1789 de l’Eglise ?