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Le cardinal Parolin aurait été victime d’une hypertension artérielle

Commentaires (7)
  1. Gaetano dit :

    Le Cardinal Parolin voit le pouvoir lui echapper. Cela a du provoquer ce probleme de sante. Qui entre Pape au Conclave generalement en resort Cardinal.

  2. John dit :

    A cet âge la tension altière est fréquente, quand il est connu est vite pris en charge. Le cardinal a eu beaucoup à faire ces derniers temps suite à la mort du pape. franchement ce n’est pas une raison de disqulification….la plus part des cardinaux ont de soucis de ce genre.

  3. Marek dit :

    Selon le cardinal Barbarin : le nouveau pape sera élu rapidement, il aura moins de 70 ans, il ne sera ni américain ni français, ce ne sera pas Parolin, il sera solide doctrinalement et pastoralement. Je regarde souvent l’émission « Terra santa » sur KTO. Le cardinal Pizzaballa est un homme discret et ouvert. Pastoralement il est irréprochable. Doctrinalement il a enrichi ses connaissances. Il parle hébreu. Son bras droit Mgr Patton est parfaitement apte à le remplacer. Mgr Pizzaballa peut sembler falot car il ne fait pas de déclarations tonitruantes à la François. Ses actes plaident pour lui. Il sait nager en eaux troubles. S’il arrive à convaincre ses confrères cardinaux qu’il a l’étoffe d’un pape ils pourront voter pour lui.

  4. Joss dit :

    Trop fragile pour être pape. Next.

  5. François dit :

    Marek, à défaut du cardinal Sarah, le card.Pizzaballa serait en effet sûrement un bon pape, comme aussi le card.Erdo.

  6. Marek dit :

    Deux repas à Rome viennent d’attirer l’attention. Un déjeuner à l’ambassade française près le Saint-Siège a réuni le 26 avril, après les funérailles de François, le président Macron et quatre des cinq cardinaux français électeurs : Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, François Bustillo, évêque d’Ajaccio, Christophe Pierre, nonce apostolique aux Etats-Unis, et Philippe Barbarin, archevêque émérite de Lyon. Un autre dîner s’est tenu la veille au restaurant Dal Bolognese sur la Piazza del Popolo avec encore Macron, cette fois-ci face au fondateur de la communauté de Sant’Egidio, Andrea Riccardi, dont on le dit proche. Ce mouvement catholique créé dans le sillage du concile Vatican II en 1968, qui revendique plus de 70000 membres dans 74 pays, partage ses activités entre l’aide aux pauvres et une action de diplomatie parallèle couplée à des efforts de médiation, en particulier sur le continent africain. Un prélat est issu de ses rangs, le cardinal Matteo Zuppi, archevêque de Bologne et président de la conférence épiscopale italienne. Il a pris position en faveur des migrants contre les projets de Mme Meloni. Il est aussi intervenu comme négociateur dans le conflit russo-ukrainien. L’Afrique c’est le fiasco de Macron face aux Russes ce qui tendrait à expliquer sa rancoeur actuelle à l’endroit de Poutine. Alors cap sur Zuppi comme pape, pour les pauvres migrants africains et contre Poutine ?

  7. Marek dit :

    « Macron qualifie Riccardi d’ami, comme il l’avait confié au Point lors d’une déambulation dans le cimetière Saint-Eugène d’Alger il y a deux ans. Chaque fois qu’Andrea Riccardi est de passage à Paris, il est reçu en toute discrétion par le chef de l’État à l’Élysée. Rien ne filtre jamais de leurs échanges, si ce n’est l’amitié chaleureuse que les deux hommes éprouvent l’un pour l’autre, et ce, depuis 2018. Historien, lauréat du prestigieux prix Charlemagne et intellectuel érudit, Andrea Riccardi parle couramment le français. il a fait ses études à Paris et il est un grand connaisseur de notre culture, en particulier de notre histoire religieuse. Ce laïc cultive aussi une onctuosité à la fois diplomatique et cardinalice pour développer son influence spirituelle et politique, qu’il exerce à travers Sant’Egidio, l’ONG internationale qu’il a fondée. » (extrait du Point)

    L’Italien de centre gauche, ancien ministre de la Coopération dans le gouvernement Monti, a l’oreille du pape François, comme il eut celle de Jean-Paul II, des souverains pontifes avec lesquels il partage une même vision de l’Église – son influence était moindre, pour ainsi dire même inexistante, sur Benoît XVI.

    Sa proximité avec le pape François a, sans nul doute, aussi joué dans sa relation avec Emmanuel Macron. Le président français avait fait le voyage à Rome, il y a deux ans, avec son épouse, et un aréopage d’intellectuels et de dignitaires religieux, pour ouvrir le congrès pour la paix qu’organise chaque année, dans une capitale européenne, l’ONG catholique.

    Emmanuel Macron est au rendez-vous pour lancer cette édition, ce dimanche 22 septembre 2024, au palais des congrès de Paris, rencontre internationale baptisée Imaginer la paix qui se prolongera jusqu’à mardi prochain avec une multitude de conférences prestigieuses réunissant intellectuels et autorités religieuses de toutes les confessions et pays au Collège de France, au collège des Bernardins, à l’hôtel de ville (entre autres lieux) avant une cérémonie de clôture sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris encore en chantier où sera lu un message du pape François.

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