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Vitraux contemporains de Notre-Dame de Paris: l’artiste Claire Tabouret retenue

Commentaires (2)
  1. Patrick BUISINE dit :

    Les deux compères MACRON et ULRICH sont donc bien complices dans cette opération d’atteinte à un patrimoine protégé.
    Mais une autre question se pose avec une vive acuité qui est celle de savoir quelle sera la provenance des fonds destinés à financer cette canaillerie.
    Or, jusqu’à plus ample information, ce sont, jusqu’à présent les fonds des donateurs qui ont permis le financement de la restauration, à l’exclusion d’une quelconque participation de l’Etat, dont l’état de délabrement des finances éclate, chaque jour qui passe, à nos yeux ce qui exclue toute possibilité de financement public de ce caprice du prince.
    Il faut donc craindre une mainmise de cet état, parvenu aux limites de la faillite, sur le solde des fonds recueillis grâce à un formidable élan de générosité internationale en vue de financer les caprices du prince.

  2. Courivaud dit :

    On lira avec intérêt le contexte de ce choix pour bien comprendre combien l’actuel président de la République est un personnage nocif et combien l’actuel archevêque de Paris est un lâche, indigne de sa “mission” d’évêque :
    https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/12/19/les-vitraux-de-la-colere-par-lucien-persignac/