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Vitraux de Notre-Dame de Paris : Gilles Drouin revendique avoir suggéré à Macron de laisser sa trace

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La chaîne du Rosaire
Commentaires (5)
  1. Trimalcion dit :

    Ce liturgiste a été de bien mauvais conseil. Sans doute Macron, à l’instar de François Mitterrand, veut-il imposer sa marque. Il n’en a pourtant ni le talent, ni surtout la carrure. Le risque est grand, si l’on en juge par les médiocrités dont on a déjà un avant-goût, de n’avoir que de piètres performances.

  2. Courivaud dit :

    La “collaboration” en marche : Mgr Ulrich est-il digne d’être archevêque de Paris ?

  3. Deslandres dit :

    La France n’a pas du tout “adopté” la Charte de Venise, pas plus que d’autres Etats. C’est pourtant ce qu’on entend et lit partout… En réalité la “Charte de Venise” est un ensemble d’orientations qui fournit un cadre international pour la préservation et la restauration des objets et des bâtiments anciens. Elle a été approuvée par le IIe Congrès international des architectes et des techniciens des monuments historiques, réuni à Venise du 25 au 31 mai 1964. La Charte de Venise n’est en aucun cas contraignante.

  4. Dysmas dit :

    Toujours cette tentation de servir la soupe aux puissants…ah certes Mgr Aupetit avait à l’époque (et encore ?) besoin d’indulgence(s) ?

  5. Kévin C. dit :

    M. Deslandres, ce que vous écrivez est vrai pour le début, faux pour la fin. La Charte de Venise a été adoptée dès l’année suivante, en 1965, par le Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS). Cette association mondiale se compose de comités nationaux. Le comité national français de l’ICOMOS a notamment pour membre le ministère de la Culture, à travers la Direction générale des Patrimoines et de l’Architecture. Donc, de fait, l’État français est tenu de respecter la Charte de Venise, comme d’autres engagements internationaux, à moins de la dénoncer officiellement et de quitter l’ICOMOS, ou de faire adopter une nouvelle charte avec des dispositions différentes.