Publication de Credo, Compendium de la Foi catholique (Editions Contre-temps)
Les éditions Contretemps publieront en mars le recueil “Credo, Compendium de la Foi catholique” de Monseigneur Athanasius Schneider :
Credo, Compendium de la Foi catholique est un résumé complet de la doctrine chrétienne – ce qu’il faut croire, comment vivre, comment prier ainsi que le Christ l’a enseigné – écrit pour notre temps par un successeur vivant des apôtres. Avec une autorité épiscopale et un zèle pastoral, Monseigneur Athanasius Schneider propose une nouvelle articulation des vérités intemporelles, dévoilant les richesses de l’enseignement de l’Eglise tout en abordant les questions contemporaines avec une clarté rafraîchissante et une charité authentique.
Guide fiable pour tous ceux qui cherchent à accroître leurs connaissances et à approfondir leur foi, Credo est le guide le plus complet et le plus cohérent du catholicisme authentique d’aujourd’hui, et sera certainement un classique pour les générations à venir.
Espérons que ce Compendium comporte au moins un paragraphe sur donc contre l’erreur “pastorale” qui a commencé à être commise par quelques clercs catholiques influents, à partir de l’entre deux guerres mondiales, et qui est à l’origîne des accommodements, de l’affadissement, de l’amollissement et de l’attiédissement caractéristiques du christianisme catholique contemporain, à partir de 1945.
Nous sommes ici en présence de l’erreur d’après laquelle non seulement la charité est due aux personnes qui sont dans l’erreur, mais en outre une bienveillance ou plutôt une connivence a priori, presque systématique, est due aux conceptions ou aux conduites à cause desquelles ces personnes sont dans l’erreur, que ce soit dans le domaine des croyances religieuses ou dans celui des pratiques morales.
Et c’est ainsi que, sous couvert de “dialogue” en vue de “l”unité”, beaucoup se sont mis à penser et à inciter à penser, non seulement que la charité est due aux chrétiens non catholiques, aux croyants non chrétiens et aux non croyants, ce qui est bien entendu vrai, mais aussi qu’un genre de bienveillance iréniste ou une sorte de connivence lénifiante est due aux confessions chrétiennes non catholiques, aux religions non chrétiennes et aux courants de pensée porteurs de l’esprit du monde de ce temps, ce qui est évidemment faux.
C’est cela et pas autre chose, la pastorale oecuméniste et pleutralisante qui constitue la marque de fabrique de “l’Eglise du Concile”.
Donc, il convient d’espérer que Mgr Schneider ait eu dans ce Compendium, ou ait bientôt, à l’avenir, la présence d’esprit de mettre les catholiques en capacité de vigilance et de résistance face à cette erreur, qui a été commise par tous les papes depuis Jean XXIII, et qui a non seulement des conséquences “stylistiques”, sur le plan pastoral, mais aussi des répercussions “thématiques”, sur le plan doctrinal.
En effet, depuis que cette erreur est, on ne peut plus explicitement et officiellement, à l’ordre du jour, même si elle ne l’est évidemment pas en tant qu’erreur, de nombreuses vérités qui dérangent, relatives aux confessions chrétiennes non catholiques, aux religions non chrétiennes et aux idéologies à la mode, ne sont presque plus jamais précisées ou rappelées aux fidèles par les clercs catholiques.
Or, cette pratique du “dialogue” et cette construction de “l’unité”, par omission presque constante de ces vérités qui dérangent, ne sont absolument pas dépourvues de répercussions sur la connaissance et la compréhension, par ceux-ci et par ceux-là, de la différence de nature entre l’Eglise catholique et les communautés chrétiennes non catholiques, de la différence de nature entre la religion chrétienne et les religions non chrétiennes, de la différence de nature entre l’Esprit de Dieu et l’esprit du monde, et de la différence de nature entre la conception catholique et la conception hier libérale, aujourd’hui postmoderne, de la dignité et de la liberté de l’homme, non seulement en matière religieuse, mais aussi en matière morale.
Au moins un demi-siècle de commission de cette ereur et de soumission à cette erreur ayant rendu possible le pontificat actuel, quel sursaut héroïque collectif ne faudra-t-il pas pour prendre conscience de cette erreur et pour la remettre en cause, puis pour mettre en avant et envaleur un Magistère et une pastorale réellement propices à la gloire de Dieu et au salut du monde ?
Espérons que ce Compendium comporte au moins un paragraphe sur donc contre l’erreur “pastorale” qui a commencé à être commise par quelques clercs catholiques influents, à partir de l’entre deux guerres mondiales, et qui est à l’origîne des accommodements, de l’affadissement, de l’amollissement et de l’attiédissement caractéristiques du christianisme catholique contemporain, à partir de 1945.
Nous sommes ici en présence de l’erreur d’après laquelle non seulement la charité est due aux personnes qui sont dans l’erreur, mais en outre une bienveillance ou plutôt une connivence a priori, presque systématique, est due aux conceptions ou aux conduites à cause desquelles ces personnes sont dans l’erreur, que ce soit dans le domaine des croyances religieuses ou dans celui des pratiques morales.
Et c’est ainsi que, sous couvert de “dialogue” en vue de “l”unité”, beaucoup se sont mis à penser et à inciter à penser, non seulement que la charité est due aux chrétiens non catholiques, aux croyants non chrétiens et aux non croyants, ce qui est bien entendu vrai, mais aussi qu’un genre de bienveillance iréniste ou une sorte de connivence lénifiante est due aux confessions chrétiennes non catholiques, aux religions non chrétiennes et aux courants de pensée porteurs de l’esprit du monde de ce temps, ce qui est évidemment faux.
C’est cela et pas autre chose, la pastorale oecuméniste et pleutralisante qui constitue la marque de fabrique de “l’Eglise du Concile”.
Donc, il convient d’espérer que Mgr Schneider ait eu dans ce Compendium, ou ait bientôt, à l’avenir, la présence d’esprit de mettre les catholiques en capacité de vigilance et de résistance face à cette erreur, qui a été commise par tous les papes depuis Jean XXIII, et qui a non seulement des conséquences “stylistiques”, sur le plan pastoral, mais aussi des répercussions “thématiques”, sur le plan doctrinal.
En effet, depuis que cette erreur est, on ne peut plus explicitement et officiellement, à l’ordre du jour, même si elle ne l’est évidemment pas en tant qu’erreur, de nombreuses vérités qui dérangent, relatives aux confessions chrétiennes non catholiques, aux religions non chrétiennes et aux idéologies à la mode, ne sont presque plus jamais précisées ou rappelées aux fidèles par les clercs catholiques.
Or, cette pratique du “dialogue” et cette construction de “l’unité”, par omission presque constante de ces vérités qui dérangent, ne sont absolument pas dépourvues de répercussions sur la connaissance et la compréhension, par ceux-ci et par ceux-là, de la différence de nature entre l’Eglise catholique et les communautés chrétiennes non catholiques, de la différence de nature entre la religion chrétienne et les religions non chrétiennes, de la différence de nature entre l’Esprit de Dieu et l’esprit du monde, et de la différence de nature entre la conception catholique et la conception hier libérale, aujourd’hui postmoderne, de la dignité et de la liberté de l’homme, non seulement en matière religieuse, mais aussi en matière morale.
Au moins un demi-siècle de commission de cette ereur et de soumission à cette erreur ayant rendu possible le pontificat actuel, quel sursaut héroïque collectif ne faudra-t-il pas pour prendre conscience de cette erreur et pour la remettre en cause, puis pour mettre en avant et envaleur un Magistère et une pastorale réellement propices à la gloire de Dieu et au salut du monde ?