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Fiducia Supplicans: même le Canard enchaîné étrille le Pape

Commentaires (6)
  1. TD dit :

    De toutes façons il n’y a pas à tergiverser : le texte Fiducia supplicans est une abomination.
    Ce texte doit être rejeté.

  2. Courivaud dit :

    Le Canard enchaîné a fait voeu d’anticléricalisme.
    Mais là, pour une fois, il a raison de se moquer.
    En revanche, il est plus utile de lire ce que dit le père Lanzetta à propos de cette manière de “rétrograder” définie par ce lamentable chef du Dicastère de la Doctrine et de la Foi, avec le concours du pape (mal)heureusement régnant.

  3. Aubé dit :

    Il arrive au Canard de n’être pas au top. C’est, en cette occurrence, le cas.

  4. Denis Crouan dit :

    Contrairement à ce qu’affirme le “Canard enchaîné”, la prétendue marche arrière du Vatican concernant la bénédiction des “couples homos” (première erreur : il n’a jamais été question de bénir des couples homos mais des personnes homosexuelles vivant “en couples”) n’est pas engagée pour calmer les évêques les plus “conservateurs” mais pour se mettre au diapason de la Vérité enseignée par Jésus et qui est tout le contraire du relativisme qui dicte ses conduites au monde actuel.

  5. Marek dit :

    @ Denis Crouan : si c’est une “prétendue marche arrière” c’est que ce n’est pas une marche arrière mais plutôt une marche avant. Bénir des “personnes homosexuelles vivant en couples”, si ce ne sont pas des “couples homos” ce sont donc des couples d’homos avec des hétéros, chose finalement assez fréquente mais éminemment frustrante pour un des deux éléments du couple. Comme le dit de façon imagée le commentateur du Salon Beige : les évêques qui sont en France “nous brossent dans le sens du poil”.

  6. TD dit :

    M Denis Crouan on voit que vous ne connaissez pas la doctrine de l’Eglise. Bénir le péché est un sacrilège.
    Le texte monstrueux Fiducia Supplicans prône la bénédiction des couples irréguliers , adultères et contre nature.
    « Tu ne coucheras pas avec un homme comme avec une femme : une telle chose est une abomination. » [Le Livre du Lévitique, 18, 22].