Dans un texte mielleux sur l’immigration, les évêques de France partagent quelques points d’attention sans jamais présenter leurs condoléances aux familles des personnes assassinées par des immigrés en situation irrégulière (et souvent connus des services de police). Au contraire, les évêques appellent à “résister à la tentation de réduire les questions migratoires à des enjeux sécuritaires, de terrorisme ou de délinquance.”
Et ils demandent à ce qu’une “attention particulière doit être portée à la protection et aux droits de ceux qui contribuent déjà par leur travail à la bonne marche de notre pays, particulièrement dans les métiers qui manquent de main d’œuvre”, sans dénoncer l’esclavagisme des chefs d’entreprise qui profitent de la faiblesse d’immigrés clandestins pour user de main d’oeuvre à bon marché. Une fois ces personnes régularisées, ces mêmes chefs d’entrepris iront chercher d’autres clandestins, payables au lance-pierre…
Mieux, sur les immigrés dangereux, et l’actualité quotidienne nous montre qu’il y en a beaucoup, les évêques soulignent que “les mesures d’éloignement des personnes étrangères considérées comme une menace pour l’ordre publique ne peuvent s’exercer que dans le respect des droits humains selon les normes et procédures internationales ratifiées par notre pays”. Là encore, aucune compassion n’est exprimée pour les victimes.