Summorum Pontificum

Les jeunes catholiques français plus conservateurs que leurs aînés : « J’ai plus de mal avec la messe normale, la messe traditionnelle est belle, elle est plus verticale »

Commentaires (2)
  1. Louise dit :

    La messe catholique traditionnelle est la messe normale.

    Les marques de respect envers Dieu sont devenues inexistantes et mêmes interdites. Mettez vous à genoux pour la communion on vous la refusera un exemple parmi d’autres, le Christ est comme absent ils s’en passent ils lui tournent le dos et souvent l’ont ôté de La Croix, d’ailleurs tout est différent.

    Interdire la messe catholique traditionnelle, c’est comme vouloir imposer aux catholiques une autre religion.

  2. Arome dit :

    Faut-il se réjouir de ce type d’article ? Par analogie avec les Scouts d’Europe, les évêques de France voyant que la stratégie de relégation de ce mouvement ne l’empêchait pas de prospérer, ont choisi de s’y associer pour le ramener dans le rang. Et si on ne peut pas parler de succès total, on peut remarquer que maintenant les Scouts d’Erope sont beaucoup plus soucieux de conformité qu’avant.

    Ce genre d’article montre que la Bête, ne pouvant étouffer le monde tradi, est en train de chercher la faille pour le subvertir et le détourner. Attendons-nous prochainement à l’émergence d’une offre ad hoc.

    Ensuite, comme l’arbre cache la forêt : oui il y a plus de pèlerins à Chartres, oui la visibilité des tradis augmente… dans une Eglise qui est en désastre total, tradis compris (qui se maintiennent, entre autres en récupérant certaines ruines du système, mais dont la croissance intrinsèque n’est pas spectaculaire non plus, en nombre pur).

    On espère un jour des assises toutes tendances (de bonne volonté) confondues sur le thème : “l’effondrement : son existence, ses causes”. Et ce sujet mérite une réflexion autrement plus sérieuse que la simple question du rite, qui est un élément du problème, mais n’est certainement pas tout le problème. Même le protestantisme, même le jansénisme (qui ont eu lieu à une époque où la messe se disait en latin….) n’ont pas entraîné un tel effondrement. Alors arrêtons-nous un peu, et réflechissons, sérieusement.