Après toute la propagande LGBT déployée par les acteurs du Synode, les cardinaux Grech et Hollerich tentent de rassurer les évêques, dont certains ont déclaré qu’ils ne se prêteraient pas à cette mascarade. Y parviendront-ils ? Exemple :
A la veille des Assemblées continentales, nous ressentons l’urgence de vous faire part de quelques réflexions pour une compréhension partagée du processus synodal, de son déroulement et du sens de l’étape que nous vivons. En effet, certains prétendent déjà savoir quelles seront les conclusions de l’Assemblée synodale. D’autres voudraient imposer un ordre du jour au Synode, avec l’intention d’orienter la discussion et de conditionner ses résultats. Cependant, le thème que le Pape a assigné à la 16ème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Évêques est clair : « Pour une Église synodale : communion, participation, mission ». Celui-ci est donc le thème unique que nous sommes appelés à explorer dans chacune des étapes du processus. Les attentes pour le Synode 2021-2024 sont nombreuses et variées, mais il n’appartient pas à l’Assemblée d’aborder toutes les questions autour desquelles l’Église se débat.
Avec l’inénarrable appel à l’unité :
L’étape continentale pourra nous aider à comprendre cette vision si, en tant que Collège des évêques, nous sommes unis dans la recherche des voies qui aident l’Église à être « ‘le sacrement de l’unité’, c’est-à-dire le peuple saint réuni et organisé sous l’autorité des évêques » (SC, n. 26). En outre, la participation au processus synodal nous permettra de renforcer cette union collégiale qui « apparaît aussi dans les relations mutuelles de chacun des évêques avec les Églises particulières et avec l’Église universelle » (LG, n. 23). S’il est vrai que tous les évêques « en gouvernant leur propre Église comme une portion de l’Église universelle, ils contribuent efficacement au bien de tout le Corps mystique qui est aussi le Corps des Églises » (LG, n. 23), il est également vrai que nous sommes appelés, tous ensemble cum et sub Petro, à représenter « l’Église universelle dans le lien de la paix, de l’amour et de l’unité » (LG, n. 23). Quel meilleur moyen que de « marcher ensemble », dans la certitude que « Le chemin de la synodalité est justement celui que Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire » (François, Discours pour la commémoration du 50e anniversaire de l’institution du Synode des évêques, 2015