Concernant le Motu Proprio Traditionis Custodes, Mgr Luc Crepy a parlé à Lourdes de « communion »:
La communion aussi avec la foi, avec l’enseignement constant de l’Église ? On aimerait en savoir plus sur ce qui a été dissonant dans l’Église au cours de ces dernières décennies… Mgr Crepy invoque le concile Vatican II et aborde la question du latin. Mais sur le rôle du latin dans la liturgie, rappelons ce passage de Sacrosanctum Concilium, qui semble moins restrictif que la position de Mgr Crepy:
L’usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera conservé dans les rites latins
Toutefois, soit dans la messe, soit dans l’administration des sacrements, soit dans les autres parties de la liturgie, l’emploi de la langue du pays peut être souvent très utile pour le peuple ; on pourra donc lui accorder une plus large place, surtout dans les lectures et les monitions, dans un certain nombre de prières et de chants, conformément aux normes qui sont établies sur cette matière dans les chapitres suivants, pour chaque cas.
Un texte paradoxalement assez peu appliqué dans l’Église…
Le plus troublant est quand il parle de ne plus ouvrir de nouveaux lieux.
Les paroissiens de St Germain en Laye n’ont pas finis d’entendre la messe dehors !
Le plus troublant est qu’il parle de dialogue.
On pourrait lui proposer deux occasions d’en faire, après tout c’est au pied du mur qu’on voit le maçon.
– au sujet de l’enquête de Paix liturgique et des abus à St Jean d’Hulst, ainsi que de son rôle pour contrecarrer la volonté des parents d’élèves de faire la lumière sur l’affaire la Villeroché, aumônier eudiste (comme Mgr Crépy) de l’établissement.
– avec les fidèles de Saint Germain en Laye effectivement qui n’ont peut être pas fini d’être dehors, mais qui nont pas désarmé pour autant. Les ignorer n’empêche pas le maintien des messes – et n’est pas une attitude tres pastorale.
Cet eveque ne confond t il pas messe en latin et messe selon l ancien ordo? Comme cela tout se mélange…..rien n est clair chez ces évêques. Il s ne connaissent rien à la liturgie et restent profondément imprégnés des errances des années post conciliaires…ils peuvent aussi relire -ou lire- les textes du concile. Peut-être seraient-ils surpris …..lisez le livre de Mgr Schneider sur la messe catholique. Tout est dit tout est clair . Si chacun se l appropriation les conflits liturgiques seraient en grande partie abolis…..enfin la paix!
Ne pouvant répondre à l’article comment réformer la CEF, il n’y a rien de plus facile:
Virer et dégrader ceux qui ont fait des actes de pédophilie ou autre tel Santier, il devraiit être dégradé et enfermé à double tour dans un monastère de façon qu’il ne puisse plus nuire et tous ceux qui sont comme lui.
virer tous les homos et les dégrader tel celui de Tulle je crois
Virer tous les FM tous les papes sauf Bergoglio peut-être ont condamné la francmaçonnerie.
Virer tous ceux qui ne croient pas à la présence réelle
Virer tous ceux qui prêchent la charité mais ne la font pas et ostracisent ceux qui ne pensent pas comme eux
Que reste-t-il? Pas grand monde mais c’est la condition pour revenir à la véritable Eglise de Jésus-Christ
J’oubliais virer tous ceux qui font ami-ami avec les muzz mais ne supportent ni les Messes tradi ni ni ni
Un candidat sérieux pour le titre envié de Tartuffe Cosmique qui sera décerné en grande pompe (dans le cul) au Jugement Dernier.
Très bien Mgr, mais le Motu Proprio de François est un acte d’exclusion des tradis.. pas de nouveaux lieux et en aucun cas des Messes tradis dans les église paroissiale.. alors les paroles de Mgr sont belles mais François aurait du réfléchir un peu avant de publier sont motu prorio autoriraire et discriminant.. mais peut-être tout cela conduira à un renforcement du catholicisme traditionnel dans un contexte ou le progressisme post conciliaire ests en train d’acter jour après jour le déclin du catholicisme en France.. .
Hervé a dit l’essentiel, Crépy parle de dialogue ,mais le pape n’e s’est pas embarrassé de dialogue pour promulguer un motu proprio d’une rudesse incroyable et injustifiée,en cela il s’est mis à l’école de Paul VI lors de la promulgation de son missel de 1969,date limite de mise en application ,1974.
Crépy parle des célébrations selon le missel de 1962 dans le diocèse de Versailles en faisant une comparaison avec le diocèse du Puy en Velay,d’une part le nombre d’habitants est largement plus élevé dans les Yvelines qu’en Haute-Loire,d’autre part la géographie de ces territoires est tout à fait différente,un seul lieu attribué à la liturgie traditionnelle au Puy en Velay, comme en bien d’autres diocèses ruraux,cela suppose des heures de route et des pleins de carburant.
Encore une fois les évêques de France vont perdre leur temps à papoter à Lourdes,ils feraient mieux de s’expliquer ouvertement sur toutes les affaires de moeurs qui salissent l’Eglise !
(L’ouvrage de Mgr klaus Gamber,historien de la liturgie,”La réforme liturgique en question”,édition Sainte -Marie-Madeleine 1992,est tout à fait recommandable.)