L’effondrement des ordinations sacerdotales en Allemagne où 29 prêtres ont été ordonnés en 2024 pour les 27 diocèses et ils pourraient être encore moins en 2025 arrange les tenants du « schisme allemand » bien contents de prétexter l’absence de prêtres pour donner le sacerdoce à n’importe qui. Et pour tenter d’obtenir la validation de leurs idées schismatiques, ils multiplient les provocations pour maintenir la pression.
Ainsi, « neuf étudiantes en théologie ont déposé leur candidature au séminaire de Fribourg . Elles se sentent appelées à devenir prêtres et souhaitent accompagner les autres en tant que pasteurs dans les moments heureux comme difficiles, comme l’a confié l’une d’ elles au « Badische Zeitung ». Leurs candidatures à la prêtrise sont un appel à une Église ouverte », nous apprend la presse « catholique » allemande, qui indique que quatre d’entre elles ont affirmé participer à une initiative intitulée « Mon Dieu ne fait pas de discrimination – mon Église, oui ». Ils ont déclaré que leur candidature, accompagnée de neuf lettres de motivation individuelles, était un acte de prise de pouvoir, un acte de libération de l’impuissance. Cinq d’entre eux ont postulé anonymement par crainte de conséquences professionnelles négatives ».
Le recteur du séminaire a décidé de faire preuve « d’ouverture » : « le recteur du séminaire, l’évêque auxiliaire Christian Würtz, a déclaré à l’Agence de presse catholique que cette candidature était un signe positif de « l’engagement et du sérieux avec lesquels les femmes abordent leur vocation et leur cheminement dans l’ Église ». Il souhaitait dialoguer avec elles, a-t-il ajouté. Cependant, il ne pouvait leur offrir aucun espoir d’admission au séminaire, les règles internationales de l’Église l’interdisant aux femmes ».
A se demander ce que ces « théologiennes » petites soldates zélées du schisme allemand font encore dans l’Eglise en Allemgne…
Allemagne ! Décidément, depuis au moins 1517, c’est toujours de là que viennent les problèmes… :-)
et bien… il ne manquait plus que cela!
A défaut de devenir séminaristes ces demoiselles pourront toujours pousser la porte d’instituts religieux féminins
5 anonymes demandent à entrer au séminaire. Peut on faire plus ridicule ? Et elles se prétendent théologiennes encore !
ouais, vont-elles porter l’affaire en justice, comme n Belgique, en invoquant que le refus d’entrée au séminaire (pas l’ordination!) au seul motif qu’elles sont des femmes est discriminatoire?
Et l’évêque qui ose dire que c’est le signe qu’elles prennent la vocation au sérieux… A quelle tartufferie se contraint-il pour éviter de jeter « de l huile sur le feu »…
Pourquoi ces dames schismatiques n’ont-elles pas l’honnêteté de rejoindre l’Eglise Anglicane ou l’une des Eglises Protestantes libérales? Nul doute qu’elles y seraient accueillies à bras ouverts et qu’elles s’y sentiraient bien plus à l’aise. Mesdames, si la doctrine de l’Eglise catholique vous dérange, de grâce, faites vos bagages et vous aussi, prêtres et évêques qui piétinez la foi définie par le Credo, les dogmes et les sacrements. Plus globalement, il est plus que grand temps que le Vatican intervienne pour que cesse d’être considéré comme « catholique » ce qui n’est plus qu’un schisme.
Jean-Pierre Snyers (adresse site internet: jpsnyers.blogspot.com)
Comme vous le soulignez à la fin, pourquoi restent-elles dans l’Église ? C’est la question que je me pose toujours avec ces gens. N’ont-ils pas le courage de reconnaître leur hérésie et d’être cohérent avec ? Il y a pourtant d’autres églises, qui correspondent parfaitement à leurs croyances erronées, pourquoi vouloir à ce point conserver l’étiquette de catholique quand tout ce qu’on le croit et professe ne correspond pas à la foi catholique ? Si l’Église est si discriminante et contraire à leurs idées, pourquoi s’y accrocher ainsi ? C’est un réel mystère pour moi. À leur place, j’aurais accepté depuis longtemps ne pas croire en la même chose et rejoins ceux qui partagent mes vues.
Fribourg est en Suisse! Pas en Allemagne.
Il y a aussi Fribourg en Allemagne: Fribourg-en-Brisgau.