Juste à la veille de la nouvelle année 2025, le cardinal Koch a célébré dans la crypte de la basilique Saint-Pierre une messe en l’honneur de Benoît XVI, qui était décédé le 31 décembre 2022.
La centralité de Dieu, “l’héritage durable” de Benoît XVI
Le préfet du dicastère pour la Promotion de l’unité des chrétiens est revenu sur la centralité de Dieu dans le parcours de Benoît XVI. Le «logos» n’est pas une «pure théorie», mais a un «visage concret» qui «a un nom, il s’appelle Jésus de Nazareth, Emmanuel, “Dieu avec nous”», qui «nous regarde et nous donne de la valeur, une valeur sur laquelle se fonde la plus haute dignité de nous, les hommes».
Le seul pape que j’ai aimé avec Jean-Paul Ier. Je suis pour une Église moraliste et rigoriste quant à la doctrine et la liturgie.
A l’époque Benoît XVI était arrivé à remettre Dieu au centre, à ramener la foi et unir les catholiques.
Après avoir attendu avec impatience que ce Saint Pape ait enfin rendu son âme à Dieu, les conciliosbergogliensynidoslaïcards se sont empressés sans perdre de temps de Le reléguer de nouveau sans ménagements, interdire la Messe Catholique traditionnelle, le catéchisme et les sacrements, condamner les églises aux prêtres et aux fidèles catholiques.
Aujourd’hui, Dieu n’est même plus en surface on n’en veut plus.
Les Catholiques et les Français n’oublieront pas la visite du Pape Benoit XVI en France.
Il était intelligent, ce fût un moment bénéfique et exceptionnel d’union pour les chrétiens et dans le monde et pour l’Europe. Il désapprouvait les effets dévastateurs du concile. Ce Pape se tenait bien, il était pieux et recueilli, nous l’avons suivi avec bonheur, ses discours, ses sermons étaient tous magnifiques, nous les avons écoutés avec beaucoup d’attention et ils resteront dans nos mémoires.