On apprend que le 31 octobre dernier, «une association LGBT+ organise une “cérémonie de ré-homosexualisation” de la passerelle Debilly à Paris». Ce rassemblement entend répondre au chapelet récité sur la passerelle Debilly en réaction au spectacle blasphématoire relatif à la Cène qui eu eu lieu au même endroit, le 26 juillet 2024, lors de l’ouverture des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris.
En effet
À l’appel de cette association LGBT+, au moins une centaine de militants, pour certains déguisés en religieux, se sont donné rendez-vous sur la passerelle Debilly, en début de soirée jeudi 31 octobre, pour mener à bien l'”opération Dyonisos”.
Mais s’ils réagissent ainsi, c’est parce que le spectacle du 26 juillet dernier avait bien une dimension antichrétienne et sacrilège. Pourquoi prendre autant d’ardeur à singer tout ce qui est chrétien ?
Visiblement, en voulant à tout prix manger du catho, ils ont oublié que tout rassemblement doit être déclaré en préfecture…
Selon Libération, ce rassemblement a été interrompu au bout d’une demi-heure. La police est intervenue pour déloger les manifestants et mettre fin aux festivités, arguant que la préfecture n’en avait pas été prévenue.
Ils n’ont pas honte de leurs comportements et aiment se rendre ridicules c’est leur genre.
J’aime rappeler cet épisode du roman et du film éponyme de Pierre Schoenderfoer, “Le Crabe-Tambour”. Au mess le soir, l’officier mécanicien du bord ( l’action se situe sur un croiseur de la Marine Nationale, le personnage du film est interprété par le grand Jacques Dufilho) raconte des histoires de son village breton natal. Un soir d’hiver, de joyeux lurons veulent faire une méchante farce au vieux recteur. L’un d’entre eux est attaché au calvaire tandis que ses comparses se cachent dans les buissons en riant sous cape. Quand le prêtre passe enfin, le faux Christ lui crie des insanités. Le brave recteur hausse les épaules , et passe son chemin. Les complices, effrayés par leur propre sacrilège, s’enfuient.
Le lendemain on découvre le faux “crucifié” accroché au calvaire, mort de froid. Puissent nos modernes blasphémateurs méditer cette histoire.