En Une

La communauté Saint Martin à Deauville en 2025

Article précédent
Mgr Brunin et les intégristes
Commentaires (6)
  1. Courivaud dit :

    Je savais que cette communauté avait un tropisme BCBG (combien de “dons” à Versaîîîllrs ?).
    Mais là, à Deauville, c’*est du snobisme, voire du mauvais goût (un président de la République connu pour son goût du blasphème y a élu son domicile d’été).
    Il vaudrait mieux aller en Lozère, en Thiérache, en Haute-Marne, mais c’est vrai, ce n’est pas dans ces départements où vivent tant d’ “invisibles” qu’on trouve de généreux donateurs (l’opus Dei, elle, s’y connaît, cela peut donner des idées aux “dons”… ironie).

  2. DALIB dit :

    Si vous examinez la liste des secteurs desservis par la communauté Saint Martin on trouve ; des campagnes déchristianisées -Châlon en Champagne, Mortagne, Nogent le Roi, Celette-, des banlieues populaire de gauche -Meyzieu Trélazé, Sarcelle-, des villes Moyennes de tradition radicales socialistes et anticléricales -Brive, Agen-, une banlieue étudiante Olivet-, par contre les paroisses huppée de Versailles, Neuilly, Paris16eme ou 7eme, Lyon quartier Ainay ou Bordeaux Les Chartrons par exemple que néni ! Ils sont aussi à Douai, à Limoge et à Oulins- Pierre Bénite, très chicos comme secteurs ! Comme vous pouvez voir sur la carte, hormis Deauville, ils auront aussi une trentaine de commune beaucoup moins friquées à désservir. La dernière fois que j’ai assisté à une messe dans une église desservie par la CSM, c’était à La Mulatière au milieu des Hlm, une assistance très diversifiés et jeunes, mais pas de BCBG.

  3. Yves dit :

    Effectivement, la Communauté Saint Martin est à Garges le Gonesses et à Sarcelles, bien connu comme lieu de villégiature des BCBG!
    Elle va là où les évêques l’appelle et où elle peut vivre son charisme de vie communautaire.

  4. NikitaZaycev dit :

    Pour répondre au commentaire plus haut, la communauté est basé dans plusieurs régions françaises. Là, où les évêques appellent à l’aide, ce ne sont pas eux qui choisissent où aller. Mais critiquer une communauté qui accueil tant de vocations dans ce désert spirituel qu’est devenue la France, est bien chose facile.

  5. Courivaud dit :

    MDR en lisant tous ces commentaires rectificatifs (rire : je veux dire, pour ne pas pleurer sur la situation actuelle de l’Eglise “de” France, de son clergé et de ses fidèles, j’en suis, affectés l’un et les autres par un affadissement de la foi “impressionnée” sinon “dominée” par la modernité).
    Il reste que cette communauté n’est pas présente dans les départements que je cite (et je pourrais ajouter : la Creuse, l’Ardèche où d’ailleurs il n’existe pas de lieux où se célèbre l’ancien rite, et tant d’autres, à la campagne surtout ; et puis, le bi-ritualisme a du bon) et qu’annoncer qu’elle est “à Deauville” sans plus d’autre précision ou qu’elle est présente sur “la Côte fleurie” (titre du communiqué de l’évêque) n’est pas du meilleur effet, surtout si l’on se rappelle que dans cette ville et sur cette côte, on a tous ces privilégiés – dont l’actuel président fait partie – qui ont le mépris facile de tout ce qui est vraiment chrétien.

  6. DALIB dit :

    Si la CSM n’est pas présente dans les diocèses que cite de mauvaise fois M. COURIVAUD, c’est parce que l’évêque résident n’a pas fait appel à cette communauté et non par refus de celle ci de s’y implanter. La communauté Saint Martin ne choisi aucune de ses missions, elle les reçoit de l’évêque qui choisit .Elle les accepte au fur et à mesure qu’elle dispose de nouveaux prêtres.D’autre diocèse sont en attente mais le prêtres de la CSM ne se multiplient pas par sissiparité. Concernant Deauville les” friqués” ne sont prèsents qu’en haute saisons, ne fréquentent pas forcément l’Eglise, (nombreux estivantsDeauvillois vont plutôt à la grande synagogue que l’on voie dans “la vérité si je ments”. En hiver il reste des pêcheurs de Trouville des agriculteurs de l’arrière pays. Avant de juger que M. COURVAUD face un tour à une messe de ce secteur rural entre septembre et juin. .