Les Jeux Olympiques et Paralympiques qui débutent aujourd’hui sont certainement le plus grand événement sportif au monde. Les différentes cérémonies préparatoires peuvent cependant interroger, comme cette pose de la flamme olympique devant l’autel de la Chapelle royale du Château de Versailles. Rappelons que des célébrations ont lieu dans cette chapelle, qui reste donc affectée au culte. Les joies légitimes ne justifient pas tout, certainement pas la méconnaissance d’un lieu qui n’a pas qu’une vocation décorative, mais bien spirituelle, ce que ne ne renie par ailleurs pas l’existence d’une appartenance de ce lieu de culte au domaine national.
Préserver un #DomaineNational c’est aussi se soucier des symboles qu’il véhicule et accessoirement des chapelles consacrées. C’est précisément ce qu’il fallait éviter à l’occasion des JO👇 Quid du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine » ? 👉 https://t.co/EYcSTilWKb https://t.co/CQtqkGBVbw pic.twitter.com/hgupqfSFpX
— Sites & Monuments (@SPPEF) July 25, 2024
Vous avez bien raison! Les Jeux n’hésitent pas à blasphémer et à prétendre remplacer le sacré.
Ce que ne montre pas, et pour cause, votre photo, ce sont les millions d’Anges entourant le Maître-Autel, en pleurs… et adorant pour réparer le sacrilège.
Les âmes qui ont la Foi les voient.
Quelle sera la réponse du Père devant ce manque de respect et cette violation d’une église dédicacée?
C’est à minima prométhéen et au pire luciférien.
Dans le Finistère, toutes les églises et chapelles sont, particulièrement en 2024, devenues des lieu de spectacles quasi-permanents. Il semble que le caractère sacré des lieux de culte soit écarté pour, en toute illégalité, faire accepter le partage de ceux-ci pour être alors des lieux de loisirs payants. Pourtant, n’est-il pas écrit (St Jean 2, 13-22) “Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic” ?
Je lis à l’instant dans “le Figaro” que lors de la “cérémonie” d’ouverture de ces jeux on a mis en scène une reine Marie-Antoinettte décapitée,céphalophore chantant la Carmagnole. Quand l’odieux rejoint le blasphème.
À côté de ce qu’on a pu voir dans le reste des festivités olympiques ou même de certaines célébrations de prêtres modernes (cf Mgr Boulanger au cirque ou la messe à vélo en Allemagne sans parler de ce prêtre italien qui célèbre les saint mystères sur un matelas gonflable…) ce n’est pas si terrible que ça !