Les projets d’aménagement de la cathédrale Notre-Dame n’ont pas cessé de susciter des inquiétudes. Le mobilier controversé fait en effet l’objet de polémiques en raison du dévoilement des «créations » et de visuels qui permettent de savoir ce que les mobiliers donneraient dans une cathédrale Notre-Dame de Paris ouverte au culte.
Un mobilier exposé aux Gobelins
Ces photos ont été prises au Mobilier national, situé aux Gobelins à Paris. Une exposition mise en place avec la DRAC d’Île-de-France traite en effet de la cathédrale rénovée. Comme le site du Mobilier nationale le précise, « enfin, en accord avec le diocèse de Paris, sont aussi présentées les maquettes du futur mobilier liturgique actuellement en cours de réalisation ».
C'est quand même d'une médiocrité… Indigne d'une cathédrale. pic.twitter.com/S6q59QqjvU
— La Tribune de l'Art (@ltdla) April 22, 2024
Un mobilier Ikea ?
Voici quelques photos de cette jurisprudence Ikea:
Ca mérite de toute urgence une explication du Dicastère sous le titre Mobilierum Supplicans.
Des goûts et des formes on peut toujours discuter, mais ce qui frappe dans la vue d’ensemble des chaises c’est l’absence de prie-dieu. On a changé tout cela, a dû dire Mgr Diafoirus.
Un tel choix n’est pas surprenant, nous étions quelques uns à nous dire que si l’ancien autel de Lustiger avait disparu, ce serait pour y mettre une d’autres laideurs encore pires
Est-on au moins bien assis sur sa chaise ?
Encore heureux, “ceci n’est pas une pipe”.
Vous m’avez bien fait rire !
C’est très choquant que les conciliaires aient supprimé les prie-Dieu dans nos églises catholiques où on aimait y venir prier.
D’ailleurs pour la communion il est dorénavant inutile de se mettre à genoux puisque on fait la queue pour se servir l’hostie.
Il n’y a plus rien de sacré et chacun peut improviser son numéro, en commentaires et allées et venues dans le chœur et devant le micro.
Le prêtre est voué à disparaître comment ils se passent du Christ qu’ils ont relégué.
À J. M. Vaas,
Mieux vaut en rire pour ne pas pleurer, cher Monsieur,
à cause de ces aberrations qui ne sont pas dignes de ce lieu, et pourtant “bénies” par un évèque qui va recevoir en grande pompe, au sens propre comme au figuré, un président de la République ayant fait inscrire dans la loi fondamentale de la République, une aberration, un prétendu droit de tuer la vie à naître, une honte pour notre pays chrétien (pour combien de temps ?), dont cet évêque n’a même pas honte.
Merci pour ce sourire de votre part en réponse à ma remarque ironique mais vous voyez bien que la situation est tragique comme le montre ces modalités de “reconstruction” de ce haut-lieu de chrétienté. On ne peut pas passer cela sous silence
J’en conviens…
@ Juliette
Il n’y avait déjà plus de prie Dieu avant l’incendie.
N’oublions pas que Notre Dame fut bien avant le concile, un haut lieu en matière de ” créativité liturgique” .
Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets…..