Mgr Denis Jachiet, évêque de Belfort, a publié une lettre pastorale. Comme d’autres de ses collègues il a cédé à la tentation de la longueur, mais compte tenu des illustrations pleine page, et des annexes, elle ne fait que 16 pages sur les 32 du document. Elle est inspirée du synode sur la synodalité et des visites pastorales des sept doyennés du diocèse, ceci expliquant peut-être cela.
À la question de savoir comment il voit l’Église dans 20 ou 30 ans, Mgr Jachiet répond:
Les rivalités entre clochers et entre sensibilités spirituelles, de même que toutes les sortes de posture d’abus de l’autre, sont des poisons mortels de la communion paroissiale.
Aspire-t-il à une Église apaisée et à dépasser certains conflits qu’il aura malheureusement entretenus ?
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On trouve en annexe une carte du diocèse de Belfort :
Du bavardage.
De la servilité
Une foi vide.
Une inopportunité manifeste alors que l’ennemi est ad portas (constitutionnalisation de la liberté de l’avortement, ravages de l’influence des néo-conservateurs qui écrasent les populations d’Ukraine, de Russie et de Palestine au sens large, parmi celles-ci, des chrétiens, etc.).
Décidément cet évêque porte bien son nom : du sel affadi qu’il faut mettre dehors.
Dieu nous garde de tels évêques qui de toute façon devront répondre de leur manque de foi, d’espérance et de charité devant le tribunal de Dieu.