Vocations sacerdotales : 25 séminaristes au séminaire de Toulouse
A la rentrée 2023, le séminaire interdiocésain de Toulouse comptait 25 séminaristes, comme l’indique la photo de la promotion sur la page Facebook – qui ne détaille pas, en revanche, les diocèses représentés.
Quel triste spectacle : pas un seul séminariste ne porte la soutane. Et l’évêque et les deux autres prêtres pareil .
Décidément l’Eglise de France n’est pas prête de se relever.
Pas une soutane, trois cols romains mais sans habit et clergyman complet, ça risquerait peut-être d’attirer des questions spirituelles des passants ou de faire “triomphaliste”, un prêtre déguisé en civil et une femme.
Si on omet que plusieurs candidats le sont pour des congrégations qui l’enverront à l’étranger voire ne sont pas français, on peut penser que l’habit ne fait pas le moine, certes, mais il contribue à être un porteur de Dieu et témoigner de sa foi.
Espérons au moins que le discernement au séminaire soit traditionnel et ne laisse pas accéder des candidats immatures ou aux théories hérétiques au sacerdoce. Mais comment s’en assurer?
Plutôt que de s’attacher à la soutane ,prions pour leur vocation , qu’ils soient bien formés tourné s vers l’évangélisation de ceux qui sont moins de Jésus.
Elles sont où les soutanes ?
Voilà pourquoi : https://riposte-catholique.fr/archives/171704
Quel triste spectacle : pas un seul séminariste ne porte la soutane. Et l’évêque et les deux autres prêtres pareil .
Décidément l’Eglise de France n’est pas prête de se relever.
Pas une soutane, trois cols romains mais sans habit et clergyman complet, ça risquerait peut-être d’attirer des questions spirituelles des passants ou de faire “triomphaliste”, un prêtre déguisé en civil et une femme.
Si on omet que plusieurs candidats le sont pour des congrégations qui l’enverront à l’étranger voire ne sont pas français, on peut penser que l’habit ne fait pas le moine, certes, mais il contribue à être un porteur de Dieu et témoigner de sa foi.
Espérons au moins que le discernement au séminaire soit traditionnel et ne laisse pas accéder des candidats immatures ou aux théories hérétiques au sacerdoce. Mais comment s’en assurer?
Le fait que Mgr de Kerimel interdise la soutane est très révélateur.
“Du passé faisons table rase” est la devise de certains évêques français.
Plutôt que de s’attacher à la soutane ,prions pour leur vocation , qu’ils soient bien formés tourné s vers l’évangélisation de ceux qui sont moins de Jésus.
La soutane ne garantit pas l’orthodoxie : regardons du côté des Anglicans…