Cela rappellera à certains les cours de catéchisme du collège, quand on nous enseignait que si tous les enfants du monde se tenaient la main, et bien… il n’y en a plus beaucoup qui joueraient au tennis ! Exit la grâce, le péché (sauf certains : le péché d’être réactionnaire ou même, paraît-il, récemment, d’être favorable à la peine de mort), les sacrements. Dialoguons (sauf avec les tradis), accueillons la diversité (mais pas les conservateurs), écouter (sauf ceux qu’il faut ‘miséricordier’ comme on dit à Rome à propos des prélats écartés brutalement)…
Dans les feuilles « pas bien » on note : « monopole de la vérité »…
Pas de change pour Celui qui est le chemin, la vérité et la vie…
Le clergé (et les laïcs en responsabilité) qui croient encore à ce genre da fadaises en sont restés au pays de Candy… ou des Bisounours (au choix).
Qu’on se rassure (si l’on peut dire) : ceux qu’on considère comme “traditionalistes” ne sont pas les seuls à être exclus par le clergé. La preuve : j’ai accepté le concile Vatican II et je me suis employé à dénoncer ceux qui le falsifiaient. Benoît XVI m’a encouragé à rester dans cette ligne. Résultat : j’ai été marginalisé par le clergé de mon diocèse au point que ma présence à une messe paroissiale devient suspecte dès lors que je suis repéré. C’est à peine croyable mais c’est la vérité. Dans les diocèses, les saboteurs de la liturgie et du catéchisme se serrent les coudes de peur que quelqu’un viendrait les bousculer dans leurs certitudes et les mette devant les résultats désespérants de leur pastorale menée à grands coups de slogans grotesques.
Pouvez vous nous indiquer d’où provient ce document digne d’une production Mc Kinsey ?
Personnellement, je n’en peux plus de ce gloubi-boulga qui se prétend encore catholique (pour combien de temps encore ?)
On a échappé aux couleurs LGBT+ etc. Un progrès!