On découvre dans cet article de L’Homme nouveau (une tribune de l’abbé Thierry Blot, bon connaisseur du dossier liturgique) que des membres de l’ancienne Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements sont également membres de l’institut Saint-Anselme. On sera quand même inquiet par les positions que véhicule cet institut sur la réforme liturgique, lequel prône l’éradication du rite traditionnel au nom d’une fausse conception de l’unité du rite romain. Pourtant, le missel dit de Paul VI constitue bien une nouvelle liturgie (sa multiplication des prières eucharistiques ou sa réécriture complète de l’offertoire), qu’on le veuille ou non. Un biais faussé qui influence des “décideurs” ecclésiaux.
Source: L’Homme nouveau