La nouvelle lettre pastorale de Mgr Ulrich à Paris invite à “former une église dans la communion”. A Paris, les fidèles des messes traditionnelles sabrées par Mgr Aupetit, à Saint-Georges de la Villette, Notre-Dame du Travail et ailleurs attendent que le diocèse – qui cela dit donne des signes d’ouverture, en autorisant la FSSP par exemple – passe des écrits aux actes :
“L’archevêque de Paris, Mgr Laurent Ulrich, a publié le 8 décembre une lettre pastorale intitulée : « À Paris, dans la communion de toute l’Église ». Il y insiste sur ce thème : « Former une Église de la communion ». Il faut permettre à chacun dans l’Église, dit-il, de « trouver une place reconnue et bienfaisante pour tous ».
C’est précisément la demande que forment sans relâche ceux de ses fidèles et de ses prêtres qui sont attachés à la liturgie traditionnelle. Ils demandent dans la communion et surtout pour la communion de trouver leur place à Paris avec la célébration libre de la messe et des sacrements traditionnels.
Ces fidèles peuvent parfois irriter, voire commettre des erreurs de jugement, mais ils protestent de leur foi catholique, laquelle dans l’Église est l’unique fondement de la communion. Les catholiques peuvent être très différents, mais ils sont un s’ils partagent l’unique foi en l’enseignement du Credo catholique.
Nous nous réjouissons de l’entrevue qu’ont obtenu de l’évêque de Versailles nos amis de Saint-Germain-en-Laye, qui assistent tous les dimanches à la messe, à 11h, devant la porte fermée à clé de la chapelle vide de l’hôpital, 20 Rue Armagis. Mgr Luc Crepy a reçu deux de leurs représentants mais nous craignons toutefois que ce revirement ne soit qu’un coup de communication pour faire croire aux personnes de bonne foi que le dialogue existe… alors qu’après des années de supplication…les fidèles sont toujours dehors « Car il n’y a pas de place pour eux à l’hôtellerie » même pour la nuit de Noel ou simplement dimanche prochain 18 décembre ou il est prévu une température de -7° à Saint-Germain-en-Laye. Pitié monseigneur pour ces familles et leurs enfants !
À Paris, c’est le 1er décembre que des représentants des paroissiens de Sainte-Odile de l’association Sainte Cécile ont été reçus par Mgr Gonon, vicaire général. En revanche, les représentants des fidèles qui assistaient aux messes supprimées de Notre-Dame du Travail et de Saint-Georges-de-la-Villette attendent toujours une réponse à leur demande d’entrevue.
À Paris comme à Versailles, ces échanges établis ou à établir permettent de porter directement aux autorités nos demandes légitimes : rétablissement des messes supprimées, distribution de tous les sacrements traditionnels et spécialement de la confirmation, possibilité à tous les prêtres diocésains de célébrer traditionnellement.
Pour les faire entendre, chaque jour, du lundi au vendredi, de 13h à 13h 30, nous veillons, à deux, trois, ou plus selon la disponibilité de chacun, devant les bureaux de l’archevêché, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, en priant et demandant cette justice. En outre, les fidèles de Saint Georges de La Villette privés de messe récitent un chapelet dans l’église le mercredi à 17h, ceux du collectif Paris Tradition 14 le récitent tous les dimanches à 18h devant Notre-Dame du Travail”.
Soyons certain que de sinety a bien préparé “Lulu” le rouge avant qu’il ne débarquasse à Paris. Ce haut clergé n’a plus aucune autorité, sauf à interdire l’Offrande du Saint Sacrifice Eucharistique. C’est un comble !!!
Ce petit reste de l’ultra modernisme ayant détruit l’église catholique apparaît comme bien “décrépy”.
De leur minable autorité, ils ont réussi à briser cette communion établi depuis 2007, au sein de nos diocèses, où nous franchissions les ponts. Dorénavant nous refusons toute compromission, toute participation à leurs mascarades anthropologiques, à la sauce hérétique protestante / évangélique, poivrées d’un zeste de beauvau.