Une nouvelle manifestation pour la défense de la messe tridentine aura lieu ce 24 septembre à Paris, à midi devant la nonciature apostolique (14 bis avenue du président Wilson, métro Iéna ou Alma Marceau ligne 9).
A la suite de la manifestation, l’assistance se rendra au colloque sur l’avenir de la messe tridentine, organisé par Renaissance Catholique, à la maison de la Chimie, ce 24 septembre de 10 à 18 heures.
Les organisateurs communiquent :
“Merci de votre constance. La machine de la liturgie nouvelle s’emballe dans la profanation, dans la dérive vers le profane et même dans le sacrilège : messe de Monika, une ministresse, à Coire, en Suisse ; rituel pour bénédiction d’unions homosexuelles édicté par les évêques flamands de Belgique ; procession des offrandes à mourir de rire ou à pleurer, lors de la consécration du nouvel évêque de Rodez (on a offert du roquefort, de la liqueur et autres spécialités locales…) ; sans parler de la « passe » d’un ballon de rugby à Toulouse, par le vicaire général au nouvel archevêque lors de sa messe d’installation, de la messe sur un matelas gonflable à Cortone, en Italie. Et pendant cela, le nonce apostolique pousse les évêques français à accélérer l’éradication de la liturgie tridentine !
Nous continuons à presser nos pasteurs, et le premier d’entre eux, le pape, par l’intermédiaire de son représentant à Paris, Mgr Celestino Migliore, nonce apostolique. Ainsi nous nous retrouverons le samedi 24 septembre, 14bis avenue du Président-Wilson, de midi à 12h 30. Et comme d’habitude, nous informerons le nonce de notre présence par courrier.
Nous nous rendront ensuite à l’important colloque sur l’avenir de la messe traditionnelle qui se tiendra à la Maison de la Chimie, 28 bis rue Saint-Dominique (inscriptions sur www.renaissancecatholique.fr), pour marquer notre détermination, exprimer notre colère, nous encourager les uns les autres.
Nous sommes solidaires du collectif Paris Tradition 14, qui organise tous les dimanches un chapelet devant Notre-Dame du Travail, et qui s’est déplacé dimanche dernier pour le réciter devant l’église Saint-Germain l’Auxerrois, où Mgr Ulrich, le nouvel archevêque, recevait le pallium, insigne de sa dignité archiépiscopale des mains du nonce apostolique. Ce même Mgr Ulrich qui n’a même pas daigné accuser réception de la demande de rendez-vous à lui adressée par le collectif de ND du Travail, et d’autres demandes semblables.
Nous sommes solidaires des autres rassemblements organisés pour la défense de la messe traditionnelle devant les bureaux de l’archevêché 10 rue du Cloître Notre-Dame les mardis et jeudis à 13h, en l’église St-Georges de La Villette le mercredi à 17h, et aussi des fidèles de Metz qui ont protesté par un chapelet contre la profanation de la cathédrale (défilé des joueuses de handball en tenue de sport avec chants gospel) et contre lesquels a été demandée par le recteur l’intervention de la police !“.
+ Pax, Malheureusement, nous ne pourrons nous rendre au colloque suite à des problèmes de mobilité Sera-t-il possible de voir des vidéos sur les différentes conférences qui se dérouleront au colloque? Nous sommes avec vous dans la prière et la résistance quoi qu’il nous en coutera. Que le Seigneur entende nos prières.
Rodez est coutumier de ce genre de singeries cft ordinations de prêtres hindous etc depuis l’insignifiant Bellino puis de l’inénarable Fonlupt
il faut faire peuple qu’ils disaient et les églises se vident inexorablement
Un retour aux années 70-80 ,et à la réaction salutaire de Monseigneur Lefebvre.
En ce qui concerne l’archevêque Ulrich il n’y a rien à en attendre,nous avons pu constater son incapacité et son mépris
à Chambéry et Lille,la fermeture du grand séminaire dans cette dernière ville et la destruction de la chapelle Saint-Joseph dans l’enceinte de l’Institut Catholique du Nord.
Quel est le mobile de cet outrage ? Quelles sont les motifs qui les portent dans leur oeuvre de destruction? Je ne comprends pas …