Depuis de nombreuses années des fidèles de Saint Germain en Laye demandent à leur évêque et à leur curé l’application du Motu Proprio Summorum Pontificum dans cette ville de l’ouest parisien.
La réponse a été quasiment invariablement négative en raison de l’absence de lieux de culte disponible. Pourtant à la faveur des travaux dans l’église Saint Louis de Port-Marly, la communauté de la chapellenie Notre-Dame de France, sous la responsabilité de prêtres de l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, s’est “délocalisée” pendant près de 3 ans à la chapelle Saint-Louis (dite des Franciscaines) de Saint Germain en Laye. Dès les travaux terminées la communauté a pu réintégrer l’église de Port-Marly, non sans quelques difficultés, mais aucune solution n’a été trouvée, n’a été cherchée pour répondre à cette demande d’application du Motu Proprio à Saint Germain en Laye qui en plus permettrait d’alléger un peu les bancs de Saint Louis de Port-Marly qui débordent tous les dimanches.
A Saint-Germain-en-Laye, depuis des années, des fidèles demandent à leur pasteur de bénéficier de la célébration d’une messe en forme extraordinaire. Las.
Le dimanche 21 juin, en la solennité du Sacré-Coeur, symboliquement, sans autorisation mais certains de leur bon droit, dix pères et mères de famille de ce groupe stable de fidèles ont eu la grâce d’assister à une messe basse célébrée par un prêtre ami dans la chapelle de l’hôpital de la ville, habituellement inutilisée les dimanches et fêtes.
Pour conclure reprenons ces mots du père Pochet dans sa prière de consécration : « Regardez et prenez en pitié ceux qui ne veulent au fond d’eux-mêmes que vivre en chrétiens fidèles… »
In Christo rege,
Des fidèles Saint-Germanois.
Et Saint Wandrille ?
Sainte-Croix de Fourqueux?
Il y a aussi une chapelle de Saint-Erembert, une à Saint-Thomas, une au Musée du Prieuré qui pourraient être remises en service.
La chapelle du château, .