Il y a quelques jours se terminaient les Journées Mondiales de la Jeunesse à Cracovie. De nombreuses personnes craignaient une attaque terroriste, certains jeunes rencontrés durant les journées dans les diocèses polonais on expliqué ne pas aller sur Cracovie car leurs parents avaient peur de ne plus les revoir. La foule fut quand même immense et l’on peut se demander comment ceci fut géré.
Voici en image, le contrôle individuel avec détection de métal de chaque personne en route pour assister à une messe en plein air dans un sanctuaire.
Des policiers étaient présents sur tout le secteur, ainsi que des militaires munis de jumelles, dans des véhicules, qui m’ont fait expressément signe de ne pas les photographier.
Toute personne ayant l’air suspect, où semblant avoir un objet dangereux en main fut assez vite contrôlé. Les haches en bois de la délégation Islandaise furent l’objet de contrôles par la police.
L’accès aux zones proche du podium, sur invitation, étaient encore plus drastique, carton, plus pièce d’identité, contrôle de chaque sac avec ouverture, détections de métaux. Ainsi, cette photo prise le jour du chemin de croix, montre après la 14ème stations, des personnes cherchant toujours à rejoindre leur place et n’ayant toujours pas réussis à passer le contrôle (dans la tente blanche).
Pour faciliter la sécurité, des couloirs réservés à la sécurité avaient été aménagés. Dans le cas de l’accès à la porte jubilaire, cela a même été fait en depuis du bon sens. En effet, la porte de la miséricorde, au milieu, ne pouvait pas être franchise pas les pèlerins, qui ont été conduits jusqu’à une porte latérale.
Cette sécurité, parfois abusive, a permis le bon déroulement d’un évènement ayant rassemblé plus de deux millions de personnes, nos élites devraient en prendre de la graine.
Benjamin Leduc