On lit en commentaire sur le site de Belgicatho (à prendre avec le recul d’un témoignage indirect)
Un ami italien de Belgique, qui était invité à un colloque organisé par le Saint-Siège à l’intérieur de la Cité Vaticane, m’a dit avoir été très surpris du changement d’atmosphère : il y règne une sorte d’américanisation, y compris linguistique, qui marginalise, entre autres, la langue diplomatique par excellence que fut le français. Tous les papes contemporains, jusques et y compris bien sûr Benoît XVI s’exprimaient aisément dans notre langue.