Jean-Yves le Gallou, président de la fondation Polémia, a publié un billet sur Boulevard Voltaire – que je trouve souvent bon, malgré son nom… – sur le Pape François et les médias. Alors que l’auteur rappelle que le « lumineux Benoît XVI » a connu « une série de campagnes de diabolisation », le Pape François semble, lui, bien plaire aux médias dominants… Pour quelle raison ? Pour une question de communication, la grande lubbie démocratique.
Mais, de la communication à l’asservissement, il n’y a qu’un pas. C’est ce que tente de dénoncer Jean-Yves le Gallou, en posant franchement la question : «Les catholiques doivent-ils s’en réjouir ou s’en inquiéter ? ». Et, vu comment il formule ses questions, la réponse n’est pas flatteuse pour le nouveau Pape :
Et quel prix théologique ou moral faut-il accepter de payer pour plaire aux médias ?
Que penser d’une certaine forme d’humilité ostentatoire consistant à se faire filmer en portant ses bagages ?
Ces question sont doublées, au fond, d’une autre, beaucoup plus profonde et intéressante, théologique, pourrait-on dire : « Reste à savoir s’il vaut mieux parler aux foules ou s’adresser au cœur et à la raison des fidèles ? »
Je peux me tromper mais je pense que le pape François a déjà tout dit, tout fait et que maintenant, il ne dira ni ne fera plus grand chose. On n’a plus rien à attendre de lui.
Déjà appelons le François 1er ! C’est quoi cette lubie ? Il n’y en aura plus après lui ? Le nom François sera interdit ? Est-ce uniquement à cause du roi de France qui portait le même nom ? Ce nom ne peut-il pas être assumé par le Pape ? Est-ce par démagogie, pour faire moins monarque ?
L’Etat d’esprit qui semble être derrière ce choix ne parait pas clair.
Si le Pape réussit au près des média c’est qu’il est malin comme le serpent. Mais il est également doux comme la colombe. Car il porte véritablement le message du Christ. Ne lui faisons pas grief de son habileté car elle s’accompagne d’innocence, de bonté et d’un immense courage ou d’une immense foi capable de déplacer les montagnes. Ne soyons paFaisons lui confiance que diable!!
Le bien fait peu de bruit et le mal fait peu de bien! La communication est de la mise en scene , la mise en scene inclu l’exageration et le bruit et comme le bruit fait peu de bien….
L’église n’a pas à plaire au monde, mais à être fidèle au Christ notre Seigneur, et à ses enseignements. Tout le reste est vain.