Le 8 janvier dernier, trente jours après la profanation de la chapelle Saint-Vincent de Paul de la base navale de Toulon, je dénonçais le « silence… assourdissant » entourant cette affaire, et cette espèce d’omerta des autorités militaires ayant mené une enquête que l’on peut croire sérieuse sur cette profanation. Je dénonçais et je m’interrogeais : « Pourquoi ce mutisme ? Est-il du à l’incompétence des enquêteurs – ce qui … Lire la suite…