Le ministre de l’Education nationale répondait au député laïciste Christian Bataille (PS)* :
“En vertu des contrats qui sont passés avec l’Etat, ces mêmes établissements doivent participer à l’organisation des épreuves nationales du baccalauréat. Je rappelle qu’il y a 600 000 élèves qui vont passer le baccalauréat cette année, et c’est une prouesse que d’organiser dans des délais extrêmement restreints l’organisation de cet examen. Donc l’organisation de l’examen du Baccalauréat est un des aspects du service public de l’Education, et il est évidement à ce titre soumis, M. Bataille, au principe de laïcité et c’est la raison pour laquelle il est demandé aux recteurs de veiller à la mise en oeuvre de cette neutralité dans le cas des épreuves écrites comme orales. Et bien elles doivent se dérouler dans des salles où aucun signe extérieur ostentatoire religieux ne doit être mis en avant. mais encore une fois, M. Bataille, le service public de l’éducation, regroupe les établissements publics et les établissements privés sous contrat et leurs enseignants”.
*Dont voici la question :
Selon notre confrère “Veille Education”, les documents d’organisation du bac (Bac info émanant du SIEC) précisent que la loi sur les symboles religieux à l’école ne s’applique pas aux centres d’examen… Et comme il est impossible à l’Etat d’organiser le Bac sans les établissements privés qui scolarisent 17% des élèves et qui ont un taux d’absenteisme des correcteurs inférieurs à ceux du public, celui-ci n’est pas en position d’exiger le retrait des crucifix des établissements catholiques sous contrat… Aux catholiques de ne pas céder !
Arthur Leroy
La laïcité, signifie, pour la république : cathophobie et haine de soi. On le sait depuis 200 ans que les catholiques sont persécutés par la république.
Cette disposition viole l’art. 2 C édictant que la république respecte toutes les croyances, elle est donc inconstitutionnelle et les établissements catholiques doivent tenir tête à ce sans-culotte dégénéré.
De quoi de quoi les séculiers n’en ont pas encore assez !!!! LES CRUCIFIX doivent rester en place, non mais, ont veux encore “bouffer” du catho, alors même que l’on n’a pas les moyens de s’en passer (heureusement). NE CEDER PAS !!!!!
Et on rase nos chapelles, nos églises, nos clochers, nos cathédrales ?
“Et on rase nos chapelles, nos églises, nos clochers, nos cathédrales ?”
Vous ne croyez pas si bien dire: http://www.petitionduweb.com/pour_sauver_l__eacute_glise_Saint_Jacques_d_Abbeville-6882.html
Voici notre retour au député ;
Monsieur le Député,
Votre intervention sur le sujet de la présence de Crucifix
lors des épreuves du Bac, au sein des Etablissements
Catholiques Privés nous aura semblé bien dérisoire, face à la
carence éducative de ce Pays, qui contraint des Familles
à scolariser leurs progénitures au sein d’Etablissements
dignes d’un enseignement que nous sommes en droit d’attendre
pour nos Enfants. Vous semblez de plus ne pas connaître les
dispositions de la loi sur les symboles religieux, qui ne
s’applique pas au centre d’examens.
Mais si vos convictions vous révulses à ce point, pourquoi
ne pas mettre en place, dans votre circonscription un volume de Centres
d’Examens suffisamment important permettant de vous passer des
Etablissements Privés. Et si d’aventure vous usiez quelques
intentions de remettre en question (ou toucher) à l’enseignement
privé Catholique, souffriez de vous rappeler la mobilisation, qui
naguère, vu le jour lorsque “François”, tenta de s’y “attaquer”. Cette
mobilisation à ce sujet ne faillira pas, elle se transmet de générations
en générations !!!! Nous veillons, soyez en certain.
Personnellement nous avons scolarisés nos enfants durant quelques années
dans le service Public … Un désastre, à tout niveau. Nous savons donc
de quoi nous parlons !!! S’entendre dire par un Proviseur (fonctionnaire
de l’EDUCATION Nationale), qu’il est là uniquement pour traiter les cas
sociaux et que la réussite des élèves n’est pas SA priorité … Nous
n’en sommes pas encore revenus !!!
Mais certainement allez vous, dans un avenir assez proche, mesurez
la gravité de votre propos. Vous aurez alors besoin de notre soutien …
et nous serons là présent pour vous aidez.
Avec nos respectueuses salutations.
Si ce n’est pas possible de faire autrement, les directeurs d’établissement peuvent faire fixer les crucifix d’une manière définitive dans le mur. S’ils doivent être enlevés, demander un remboursement pour la remise en l’état dès la fin de l’examen, même si c’est en dehors des heures ouvrables.
Coût de l’opération à renouveler à chaque fois que la salle de classe est utilisée, bien sûr.
A voir s’il y a un budget pour?
A chicanerie, chicanerie et demi…