Steven Ertelt de LifeNews cite un nouveau rapport paru dans la prestigieuse revue, American Journal of Obstetrics and Gynecology, qui vient confirmer des données antérieures : selon son auteur, Dr Jay Iams, « contrairement à la croyance générale, des études basées sur la population ont établi que les avortements volontaires pendant les 1er et 2e trimestres sont associés à une augmentation très petite, mais apparemment réel, du risque de naissance avant terme spontanée par la suite ».
Une infirmière blogueuse pro-vie très lue aux Etats-Unis, Jill Stanek, réagit à cette déclaration certes timide, mais qui marque une rupture dans le monde des chercheurs en vue aux Etats-Unis qui refusent d’en parler. Elle souligne que Iams parle d’une « croyance générale » qui résulte en réalité de la mise à l’écart systématique des études qui font état de ce lien entre avortement et risque de prématurité lors d’une grossesse suivante : or il y en a 114, et aucune en sens contraire. 114 études qui ne sont jamais citées lorsqu’il est question dans la littérature professionnelle des complications liées à l’avortement.
Jill Stanek apporte aussi un éclairage plus précis sur cette « augmentation très petite » du risque avouée par le Pr Iams, donnée qu’il relie à une étude citée qui avait constaté une augmentation de risque de 36 %, ce qui n’est pas rien ! Lire la suite !