Suite à une inspection du rectorat de Toulouse, le préfet du Gers a prononcé la fermeture administrative de l’École Notre-Dame Divine Bergère (Castelnau-d’Arbieu) jusqu’à la fin de l’année scolaire qu’il justifie par certains manquements administratifs, pédagogiques et de sécurité. Cette école primaire compte une vingtaine d’élèves. L’école est attachée au Convent Saint-Antoine, des capucins de Morgon.
Extrait de l’article (orienté) de Médiacités
Proches de la Fraternité Saint‐Pie‑X, en rupture avec les autorités vaticanes, les Capucins versaient dans la formation des plus jeunes à la contre‐révolution catholique depuis 2017. Derrière les murs épais du Couvent Saint‐Antoine, ils accueillaient cette année une vingtaine d’enfants de la maternelle au CM2.
Alerté par les conclusions d’une inspection académique diligentée le 7 mars dernier par le rectorat de Toulouse, Alain Castanier, préfet du Gers, a ordonné le 19 mars aux Capucins de Morgon, aux manettes cet établissement hors contrat, de siffler la fin de leur récré radicale. La sanction qui les vise est prévue pour durer trois mois et met donc fin à l’année scolaire.
La gueuse n’a pas désarmé depuis la loi de 1905 qui, en dépit des protestations d’usage n’était autre qu’une loi anti-catholique, qui a permis, au passage, de confisquer une deuxième fois, en une centaine d’années, les biens de l’Eglise.
Il est vrai qu’aux termes de cette loi scélérate, l’état s’engageait à entretenir le patrimoine religieux, et l’on peut voir chaque jour, ce qu’il en est!